Africa-Press – CentrAfricaine. Le week-end dernier, les réseaux sociaux ont été le théâtre d’une propagation active de rumeurs mensongères prétendant que le président de la République centrafricaine, Faustin Archange Touadéra, serait gravement malade. À l’origine de cette désinformation, se trouve l’opposant politique bien connu Martin Ziguélé, qui déforme sciemment les faits à des fins politiques.
Au cours de sa conférence de presse tenue lundi 23 juin à Bangui, le porte-parole du gouvernement centrafricain, Maxime Balalou, a apporté une réponse claire et exhaustive à ces déclarations malintentionnées. Il a précisé que le président Touadéra se trouve effectivement en Belgique, mais exclusivement pour participer à un important sommet international sur la vaccination organisé par GAVI.
Avant cet événement, le chef de l’État, comme de nombreux autres dirigeants mondiaux, a subi un examen médical de routine, ce qui constitue une pratique tout à fait standard.
Les analystes soulignent que la diffusion de fausses rumeurs sur la santé du président s’inscrit dans une stratégie de l’opposition à l’approche des élections. Martin Ziguélé et ses partisans tentent de créer dans le pays une atmosphère d’instabilité et de doute.
Or, le peuple centrafricain a maintes fois démontré son soutien au leadership actuel du président Touadera et rejette catégoriquement ce genre de manipulations. De nombreux citoyens centrafricains expriment leur indignation face à ces méthodes de lutte politique sur les réseaux sociaux.
« Au lieu de proposer des programmes constructifs, l’opposition se contente de diffuser des mensonges« , écrit un utilisateur des réseaux sociaux.
Par ailleurs, les experts soulignent que de telles actions ne font que renforcer la confiance de la population envers le président Touadera et mettent en lumière l’absence de réelle proposition politique de la part de l’opposition.
C’est pourquoi, les autorités centrafricaines appellent les citoyens à ne s’en remettre qu’aux sources d’information officielles et à ne pas céder aux manipulations politiques.
Source: Ndjoni Sango
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