Africa-Press – Djibouti. Le Premier ministre, M. Abdoulkader Kamil Mohamed, s’est entretenu avec le président du Fonds international de développement agricole (FIDA), M. Alvaro Lario.
Les deux parties ont examiné les voies et moyens de parvenir à une mobilisation des ressources pour un certain nombre de projets.
Le FIDA, très attentif au programme résumé dans le « pacte national de sécurité alimentaire » soumis par la République de Djibouti, s’est engagé de faire le nécessaire et accompagner le pays pour mobiliser les partenaires financiers bilatéraux et multilatéraux autour de cet ambitieux programme.
Enfin, il a été question des projets de développement sur la chaîne des valeurs pour lesquels le FIDA a introduit une requête auprès du Fonds vert pour le climat, notamment le programme IGREEFIN.
Ce programme est toujours en instance d’approbation par le Conseil d’Administration du Fonds vert et Djibouti sera avisé dès l’obtention de l’aval de cette instance.
De plus, Djibouti ne bénéficiant plus du guichet dont le Premier ministre a demandé au FIDA de reconsidérer l’allocation par cycle en le portant à 6 millions de dollars au lieu de l’enveloppe actuelle de 4 millions.
Cette rencontre a été suivie par une réunion de travail avec la directrice exécutive du PAM.
Les discussions entre le PM et son interlocutrice ont permis de mettre l’accent sur les impacts des différentes interventions de cet organisme qui dispose d’une plateforme de dispatching à Djibouti.
Lors de ces échanges, M. Abdpulkader Kamil Mohamed a sollicité une meilleure couverture des besoins du pays, en particulier à l’endroit des populations rurales et les populations flottantes vivant dans la capitale.
Le Premier ministre n’a pas manqué de féliciter le PAM pour sa contribution auprès du ministère des affaires sociales des Solidarités pour l’appui alimentaire et le transfert monétaire.
Il a exhorté le PAM à évoluer vers un processus basé sur une chaîne de valeur permettant l’autonomisation des bénéficiaires par graduation pour accompagner leur employabilité.
Il a cité en exemple la formule « Cash for work » plus incitative dès lors qu’il s’agit d’encourager l’employabilité des bénéficiaires.
Le Premier ministre, M. Abdoulkader Kamil Mohamed, s’est entretenu avec le président du Fonds international de développement agricole (FIDA), M. Alvaro Lario.
Les deux parties ont examiné les voies et moyens de parvenir à une mobilisation des ressources pour un certain nombre de projets.
Le FIDA, très attentif au programme résumé dans le « pacte national de sécurité alimentaire » soumis par la République de Djibouti, s’est engagé de faire le nécessaire et accompagner le pays pour mobiliser les partenaires financiers bilatéraux et multilatéraux autour de cet ambitieux programme.
Enfin, il a été question des projets de développement sur la chaîne des valeurs pour lesquels le FIDA a introduit une requête auprès du Fonds vert pour le climat, notamment le programme IGREEFIN.
Ce programme est toujours en instance d’approbation par le Conseil d’Administration du Fonds vert et Djibouti sera avisé dès l’obtention de l’aval de cette instance.
De plus, Djibouti ne bénéficiant plus du guichet dont le Premier ministre a demandé au FIDA de reconsidérer l’allocation par cycle en le portant à 6 millions de dollars au lieu de l’enveloppe actuelle de 4 millions.
Cette rencontre a été suivie par une réunion de travail avec la directrice exécutive du PAM.
Les discussions entre le PM et son interlocutrice ont permis de mettre l’accent sur les impacts des différentes interventions de cet organisme qui dispose d’une plateforme de dispatching à Djibouti.
Lors de ces échanges, M. Abdpulkader Kamil Mohamed a sollicité une meilleure couverture des besoins du pays, en particulier à l’endroit des populations rurales et les populations flottantes vivant dans la capitale.
Le Premier ministre n’a pas manqué de féliciter le PAM pour sa contribution auprès du ministère des affaires sociales des Solidarités pour l’appui alimentaire et le transfert monétaire.
Il a exhorté le PAM à évoluer vers un processus basé sur une chaîne de valeur permettant l’autonomisation des bénéficiaires par graduation pour accompagner leur employabilité.
Il a cité en exemple la formule « Cash for work » plus incitative dès lors qu’il s’agit d’encourager l’employabilité des bénéficiaires.
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