Africa-Press – Djibouti. En début d’année, les élèves-officiers de l’Académie Militaire Interarmées (AMIA) des forces armées djiboutiennes ont eu l’opportunité de se former aux manipulations de base du fusil d’assaut Famas, grâce à un détachement du 5e Régiment Interarmées d’Outremer (5e RIAOM). Cette formation, qui s’est déroulée en prévision d’un exercice conjoint à venir, a permis aux élèves-officiers de 2e et 3e années de renforcer leurs compétences en tir.
L’entraînement sur le fusil d’assaut Famas s’est concentré sur trois axes principaux: le fonctionnement de l’arme (démontage et remontage), les manipulations de base, ainsi que les principes fondamentaux du tir.
Cette collaboration s’inscrit dans le cadre d’un exercice prévu en partenariat avec les jeunes officiers des Écoles Militaires de Draguignan. Ces initiatives sont cruciales pour assurer la sécurité régionale et favorisent l’interopérabilité entre les forces françaises et djiboutiennes.
Au quotidien, les forces armées des deux pays travaillent de concert pour renforcer leurs procédures militaires communes, conformément aux accords bilatéraux de coopération militaire entre la France et Djibouti.
En début d’année, les élèves-officiers de l’Académie Militaire Interarmées (AMIA) des forces armées djiboutiennes ont eu l’opportunité de se former aux manipulations de base du fusil d’assaut Famas, grâce à un détachement du 5e Régiment Interarmées d’Outremer (5e RIAOM). Cette formation, qui s’est déroulée en prévision d’un exercice conjoint à venir, a permis aux élèves-officiers de 2e et 3e années de renforcer leurs compétences en tir.
L’entraînement sur le fusil d’assaut Famas s’est concentré sur trois axes principaux: le fonctionnement de l’arme (démontage et remontage), les manipulations de base, ainsi que les principes fondamentaux du tir.
Cette collaboration s’inscrit dans le cadre d’un exercice prévu en partenariat avec les jeunes officiers des Écoles Militaires de Draguignan. Ces initiatives sont cruciales pour assurer la sécurité régionale et favorisent l’interopérabilité entre les forces françaises et djiboutiennes.
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