Africa-Press – Gabon. Technocrate chevronné, le candidat aux locales 2025, Jean Silvio Koumba va à la conquête du 3e arrondissement de Port-Gentil qu’il veut moderniser, transformer substantiellement, tout en mettant les populations à l’abri du besoin.
L’ancien haut fonctionnaire brigue le 3e arrondissement de la capitale économique sous la bannière du Rassemblement pour la nouvelle république (RNR.) de Jean Ping, en apparenté avec l’Union démocratique des bâtisseurs (UDB, parti au pouvoir) du Chef de l’Etat Brice Clotaire Oligui Nguema. Il dispose d’un projet de société qui se veut ambitieux et cohérent pour contribuer à « bâtir une ville où chacun trouve sa place, et où l’action municipal devient un véritable levier de transformation ».
Jean Silvio Koumba qui a pour slogan: « l’assurance de l’expérience » se dit engagé, une fois élu, à participer à l’actuel processus de refondation du Gabon nouveau, notamment dans le cadre du développement local qui sera porté par des collectivités locales. Ces démembrements de l’Etat qui auront désormais une marge de manœuvre à agir avec l’effectivité imminente de la loi sur la décentralisation.
« Je souhaite contribuer à ce renouveau en plaçant le bien-être des populations au cœur de mon action et en m’inscrivant de fait pleinement dans la vision du président de mon parti, Jean Ping, qui vise un Gabon à l’abri du besoin et de la peur », insiste-t-il avec assurance.
Dans son programme, l’administrateur civil en chef veut créer plus de 8000 emplois d’ici 2030 grâce à la mise en œuvre des chantiers qui découleront des Partenariats publics privés (PPP) et au soutien à l’entreprenariat local.
Le projet intègre également une gouvernance transparente et participative avec la mise en place d’un budget citoyen, la digitalisation des services municipaux et la création d’un conseil consultatif des quartiers. Il met en relief la construction d’une université municipale et d’un CHU moderne.
« Chaque habitant bénéficiera aussi d’une mutuelle municipale pour sa protection sociale », souligne le projet de société.
Camille Boussoughou
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