Africa-Press – Gabon. Les onze États membres de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) se réunissent du 1er au 5 décembre à Malabo pour la 60e session du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale (UNSAC). Le président de la Commission de la CEEAC, Ezéchiel Nibigira, a confirmé sa participation à cette rencontre.
«Promouvoir la gouvernance démocratique: un levier essentiel pour la stabilité politique durable, la prévention des conflits et la consolidation de la paix en Afrique centrale». Tel est le thème choisi pour la 60e session de l’UNSAC qui s’est ouverte ce lundi à Malabo, en Guinée équatoriale. Une rencontre qui, selon l’UNOCA, illustre l’importance accordée par les 11 États membres de la CEEAC à la stabilité politique et à la prévention des conflits dans la sous-région. Le président de la Commission de la CEEAC, Ezéchiel Nibigira, y prendra part, selon l’annonce faite récemment.
Ces travaux seront structurés en plusieurs étapes. Depuis ce 1er décembre 2025, des réunions des points focaux ont eu lieu et seront suivies des délibérations des experts du 2 au 4 décembre. Celles-ci aboutiront à un projet de rapport qui sera examiné et adopté le 5 décembre lors de la session ministérielle. Le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU pour l’Afrique centrale, Abdou Abarry, y prendra part aux côtés des chefs de délégation des États membres, apprend-on.
Selon la note d’information de l’UNOCA, ce rapport abordera notamment «les progrès réalisés dans le cadre de la mise en œuvre de la Résolution 1325 et de l’Agenda femme, paix et sécurité dans la sous-région, la lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre (ALPC) en Afrique centrale et la situation humanitaire dans la sous-région».
Des sous-thématiques d’actualité
Dans le prolongement du thème principal, les participants examineront deux axes majeurs: l’observation citoyenne électorale et son rôle pour la stabilité politique ; la gouvernance démocratique à l’ère des réseaux sociaux et de l’intelligence artificielle.
D’autres sujets sensibles figureront à l’ordre du jour, tels que la protection des enfants affectés par les conflits armés, la lutte contre l’extrémisme violent et les discours de haine, les défis liés au changement climatique, ainsi que la promotion des droits de l’homme et de processus électoraux pacifiques.
Une présidence tournante, un cadre de diplomatie préventive
À l’issue de cette 60e session, la Guinée équatoriale succédera au Tchad à la présidence de l’UNSAC pour une période de six mois. L’UNOCA rappelle qu’il s’agira de la troisième présidence équato-guinéenne depuis que le Secrétariat de l’UNSAC a été confié au Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale (UNOCA) en 2011.
Créé en 1992, l’UNSAC réunit deux fois par an les ministres des Affaires étrangères et hauts responsables de la défense et de la sécurité des onze pays de la CEEAC. Il s’agit pour le Comité de «discuter des défis auxquels l’Afrique centrale est confrontée et faire des recommandations pour y faire face, mais aussi promouvoir la diplomatie préventive».
Les onze États membres de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) se réunissent du 1er au 5 décembre à Malabo pour la 60e session du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale (UNSAC). Le président de la Commission de la CEEAC, Ezéchiel Nibigira, a confirmé sa participation à cette rencontre.
«Promouvoir la gouvernance démocratique: un levier essentiel pour la stabilité politique durable, la prévention des conflits et la consolidation de la paix en Afrique centrale». Tel est le thème choisi pour la 60e session de l’UNSAC qui s’est ouverte ce lundi à Malabo, en Guinée équatoriale. Une rencontre qui, selon l’UNOCA, illustre l’importance accordée par les 11 États membres de la CEEAC à la stabilité politique et à la prévention des conflits dans la sous-région. Le président de la Commission de la CEEAC, Ezéchiel Nibigira, y prendra part, selon l’annonce faite récemment.
Ces travaux seront structurés en plusieurs étapes. Depuis ce 1er décembre 2025, des réunions des points focaux ont eu lieu et seront suivies des délibérations des experts du 2 au 4 décembre. Celles-ci aboutiront à un projet de rapport qui sera examiné et adopté le 5 décembre lors de la session ministérielle. Le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU pour l’Afrique centrale, Abdou Abarry, y prendra part aux côtés des chefs de délégation des États membres, apprend-on.
Selon la note d’information de l’UNOCA, ce rapport abordera notamment «les progrès réalisés dans le cadre de la mise en œuvre de la Résolution 1325 et de l’Agenda femme, paix et sécurité dans la sous-région, la lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre (ALPC) en Afrique centrale et la situation humanitaire dans la sous-région».
Des sous-thématiques d’actualité
Dans le prolongement du thème principal, les participants examineront deux axes majeurs: l’observation citoyenne électorale et son rôle pour la stabilité politique ; la gouvernance démocratique à l’ère des réseaux sociaux et de l’intelligence artificielle.
D’autres sujets sensibles figureront à l’ordre du jour, tels que la protection des enfants affectés par les conflits armés, la lutte contre l’extrémisme violent et les discours de haine, les défis liés au changement climatique, ainsi que la promotion des droits de l’homme et de processus électoraux pacifiques.
Une présidence tournante, un cadre de diplomatie préventive
À l’issue de cette 60e session, la Guinée équatoriale succédera au Tchad à la présidence de l’UNSAC pour une période de six mois. L’UNOCA rappelle qu’il s’agira de la troisième présidence équato-guinéenne depuis que le Secrétariat de l’UNSAC a été confié au Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale (UNOCA) en 2011.
Créé en 1992, l’UNSAC réunit deux fois par an les ministres des Affaires étrangères et hauts responsables de la défense et de la sécurité des onze pays de la CEEAC. Il s’agit pour le Comité de «discuter des défis auxquels l’Afrique centrale est confrontée et faire des recommandations pour y faire face, mais aussi promouvoir la diplomatie préventive».
