Cameroun-sénatoriale 2023 : ELECAM accepte 22 listes de 10 partis politiques

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Cameroun-sénatoriale 2023 : ELECAM accepte 22 listes de 10 partis politiques
Cameroun-sénatoriale 2023 : ELECAM accepte 22 listes de 10 partis politiques

Africa-Press – Cameroun. Elections Cameroon vient de rendre publiques les 22 listes de candidatures retenues en vue de l’élection des sénateurs du 12 mars prochain.

10 jours après la clôture du dépôt des listes de candidatures à Elections Cameroon, le Conseil électoral, l’organe en charge de leur examen vient de publier les listes de candidats acceptées. Sur les 32 listes de candidatures présentées par 13 partis politiques, 22 remplissant les conditions fixées par le code électoral ont été déclarées acceptées. Le président du Conseil électoral Enow Abrams Egbe a publié ces listes au cours d’une communication faite au siège d’ELECAM ce mardi en fin de matinée.

Il en ressort que 10 partis politiques sur 13 sont désormais en compétition. Le Rassemblement démocratique du peuple camerounais reste en compétition sur l’ensemble des 10 régions. Le Rdpc n’aura pas de concurrent dans les régions du Sud et du Sud-Ouest. Dans la région de l’Ouest, le Rdpc sera face à deux partis d’opposition dont l’UMS et l’UDC. Dans la région du Nord-Ouest, le SDF veut renverser de nouveau le Rdpc. Trois partis politiques vont se disputer les sept sièges dans la région du Nord. Il s’agit du Rdpc, de l’Undp et du Fsnc.

Dans le Littoral, seuls le Pcrn et le Rdpc sont dans la course. A l’Extrême-Nord, le Rdpc, l’Andp, l’Undp et le Mdr vont s’opposer. A l’Est, le Rpdc sera face à l’Undp. Dans le Centre, seuls deux partis politiques ont été acceptés : le Rdpc et le Fdc. Dans l’Adamaoua, l’Undp et le Rdpc vont s’affronter dans les urnes.

10 listes ont été rejetées en raison du non-respect des prescriptions de la loi électorale. Deux partis politiques sont désormais hors-jeu. Ce sont d’abord l’Union des populations du Cameroun pour avoir présenté des listes investies par trois leaders distincts à savoir Baleguel Nkot, Habiba Issa et Michel Eclador Pekoua ; et ensuite la Jeunesse démocratique du Cameroun (Jdc) pour défaut de caution.

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