Africa-Press – Cameroun. C’est la débandade actuellement à la Direction générale de la recherche extérieure du Cameroun (DGRE).
Plusieurs sources dont le lanceur d’alertes Boris Bertolt affirment que des agents de ce service de renseignement qui étaient très proche de son ancien directeur aujourd’hui en prison, son traqué. Ils sont donc en fuite.
D’autres, toujours selon l’ancien journaliste, ont été arrêtés et en garde à vue.
“Exclusif… Chasse à l’homme à la DGRE. Plusieurs proches l’Ex-DGRE, Maxime Eko Eko traqués, certains placés aux arrêts. Une situation qui renforce la crise de confiance au sein de l’institution”, écrit Boris Bertolt.
Il y a quelques jours, un ancien officier de la DGRE révélait que de jeunes officiers ayant au moins le grade de lieutenant ont été tués ces dernières années. Il ne sont pas morts au combat. Cet ancien capitaine ayant fait ses armes à la DGRE affirme qu’ils ont été tués les uns par les autres.
L’objectif de ces assassinats, selon l’ancien capitaine en exil, Patrice Nouma, est de ne laisser aucune trace d’un réseau mafieux et satanique qui tue, s’enrichie illégalement pour prendre le pouvoir et pratique la magie noire avec du sperme des jeunes.
Selon Nouma, l’épouse de Ferdinand Ngoh Ngoh est impliquée dans ces assassinats.
Entre autres, notre source cite: le lieutenant Jean-Louis Mebenga, le lieutenant Mbia Etoundi, l’officier Franck Polycarpe Ondobo…
“La femme de Ferdinand Ngoh Ngoh est au milieu de tous ces morts là. Le lieutenant Jean Louis Mebenga d’après les dire de certaines personne de la DGRE, sortait avec la femme de Ngoh Ngoh. En échange de cette relation qui n’était pas forcément charnelle, la femme de Ngoh Ngoh récupérait le spermatozoïde de l’enfant là et enfin il demande son assassinat par le lieutenant Etoundi. Après tout, le lieutenant Etoundi a lui même été assassiné”, dévoile Patrice Nouma.
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