BREAKING NEWS : Biya envoie officiellement sa décision à Mouelle Kombi sur l’affaire du moment

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BREAKING NEWS : Biya envoie officiellement sa décision à Mouelle Kombi sur l'affaire du moment
BREAKING NEWS : Biya envoie officiellement sa décision à Mouelle Kombi sur l'affaire du moment

Africa-Press – Cameroun. Le ministre d’État, secrétaire général de la présidence de la République Ferdinand Ngoh Ngoh a envoyé une lettre au ministre des Sports et de l’Éducation physique Narcisse Mouelle Kombi.

Dans la correspondance faite à Yaoundé le 08 août 2023, on peut lire en objet « différend entre l’entreprise Magil et l’État du Cameroun devant la Cour internationale d’arbitrage de la chambre de commerce international (CCI) de Paris ».

Ferdinand Ngoh Ngoh fait savoir à son homologue que « faisant suite à votre correspondance citée en référence, j’ai l’honneur de vous faire connaître que monsieur le président de la République Paul Biya a marqué son très haut accord pour la désignation des experts ci-après.

Comme co-arbitre et conseils de l’État du Cameroun dans le cadre du différend repris en objet.

Il s’agit de : co-arbitre : – Dr Ismail Selim.

Équipe-Conseil : – M. Jean Claude Awana. Magistrat hors hiérarchie. Conseiller à la Cour suprême du Cameroun et arbitre à la CCI/Paris et à la Cour commune de justice et d’arbitrage d’Abidjan.

– Maître Bobohi Ebongo Sylvie. Avocat au barreau du Cameroun et de Paris

– Maître Pensy Emmanuel. Avocat au barreau du Cameroun ».

Justement concernant cette affaire dans un article publié par Jeune Afrique il y a plus de deux (02) semaines, on pouvait lire : « Dans la longue bataille judiciaire qui l’oppose à l’entreprise canadienne, Yaoundé vient de perdre une manche à Paris ».

Le média enchaîne que « le conflit judiciaire qui oppose Yaoundé a Magil Construction Corporation, une filiale du groupe français Fayolle, à la suite de la rupture d’un « contrat commercial » conclu le 03 janvier 2020 rebondit encore. Dans une décision de la Cour internationale d’arbitrage de Paris, rendue le 14 avril et que Jeune Afrique a consultée, l’instance judiciaire ordonne à l’État du Cameroun, représenté par le ministère des Sports et de l’Éducation physique, de verser 23 millions d’euros à l’entreprise de BTP canadienne (…) ».

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