Vertiges : 300 000 personnes concernées en France, une journée d’échanges le 23 novembre

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Vertiges : 300 000 personnes concernées en France, une journée d’échanges le 23 novembre
Vertiges : 300 000 personnes concernées en France, une journée d’échanges le 23 novembre

Africa-Press – Cameroun. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les vertiges sans jamais oser le demander, ce sera pour une fois possible à Marseille (mais aussi à distance par Zoom) le samedi 23 novembre 2024. Cette rencontre inédite en France (et gratuite) entre chercheurs et patients est organisée par l’association « ePatient » présidée par le Dr Maya Elzière, médecin ORL responsable de la consultation « vertiges » à l’hôpital européen (Marseille) qui a également développé l’application Apo Vertiges (elle aussi entièrement gratuite) permettant une meilleure collaboration entre patients et médecins.

Cette journée spéciale vertiges qui se déroulera dans la capitale phocéenne constitue une occasion privilégiée d’échanges permettant de confronter les questions de ceux qui souffrent de troubles de l’équilibre et/ou de vertiges aux réponses de différents scientifiques français aux travaux réputés. Sur la liste des invités, Dr Michel Toupet, ORL parisien et l’un des meilleurs experts de la pathologie, mais aussi de très nombreux chercheurs en neuroscience de Marseille et de Toulouse (Dr Liliane Borel, Dr Christophe Lopez, Dr Alexandra Severac, Dr Christian Chabbert, Dr Brahim Tighilet) sans oublier le Pr Paul Avan (PU-PH de Biophysique, Clermont-Ferrand) et le Pr Pierre Denise (PU-PH de physiologie, Caen).

Le symptôme « vertige » est très fréquent en France

La journée qui se terminera en musique vise un objectif précis: créer un échange dans une ambiance conviviale tant pour permettre aux patients de s’informer des dernières avancées en matière de recherche que de donner l’occasion aux chercheurs de rencontrer des personnes vertigineuses avec leurs questionnements et leur souffrance.

Pour mémoire, le symptôme « vertige » est très fréquent et concerne 300.000 personnes en France. Troisième cause de consultation en médecine générale, il est souvent invalidant et invisible en dehors des crises.

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