Africa-Press – CentrAfricaine. Avec la volonté des autorités actuelles et de la direction des examens et concours (DEC), d’organiser les examens de fin d’année pour permettre aux élèves de décrocher leurs billet pour les études supérieures, la police des examens doit se mobiliser en veillant sur l’utilisation les techniques de tricherie notamment les téléphones androïdes qui est un moyen efficace et facile en ce 21e siècle.
A l’heure de nouvelles technologies de l’information et de la communication, beaucoup d’élèves cherchent des voies et moyens pour s’offrir des téléphones androïdes pour se connecter, faire des recherches et pire faire la concurrence en milieu scolaire.
Mais force est de constater que de nombreux élèves restent accrochés à leurs androïdes et ne se donnent plus la volonté d’apprendre leurs leçons et estiment les utiliser pendant le déroulement des différentes épreuves des examens.
Ce comportement visible pendant le déroulement des examens dans différents centres de composition, d’aucun pense que c’est impossible d’éradiquer le phénomène de tricherie par téléphone mobile.
« Je suis écœuré de ce comportement des candidats après être fouillés par les surveillants, ceux-ci se retrouvent encore avec le téléphone androïde dans la salle de composition et, une fois le sujet collé au tableau ou soit distribué, ces derniers balancent les sujets à travers les réseaux sociaux notamment WhatsApp, twitter et la liste n’est pas close en vue d’obtenir les corrigés et cela reste le défi majeur pour le ministère de l’éducation nationale et le constat est vraiment amer », a déploré un étudiant sous couvert de l’anonymat.
Ces comportements ont pris une allure inquiétante nécessitant l’appui des autorités éducatives et des parents pour sensibiliser les apprenants sur les avantages et les inconvénients de l’utilisation des téléphones androïdes.
La Source: Ndjoni Sango
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