Africa-Press – CentrAfricaine. Ayant compris que le travail reste le seul levier du développement, le président Faustin Archange Touadera appelle les travailleurs à réfléchir sur le comment renforcer la résilience de la société. Un apple lancé lors de son discours de la célébration de la 4e édition du mois de travail sur le thème: la justice sociale, promotion du travail, levier du développement de RCA, le mardi 6mai 2025,
Dans cet élan de sensibilisation, le président de la République appelle à la prise de conscience pour définir ensemble de stratégie dans l’objectif de promouvoir l’attitude du travail et sur la protection sociale.
D’après lui, la création d’emploi pour les jeunes et les femmes s’avère importante à l’heure des défis mondiaux des financements durables.
« L’agenda du travail repose sur quatre (4) piliers: la promotion de l’emploi et de l’entreprise, l’extension de la protection sociale, la garantie des droits au travail et l’enracinement du dialogue social. Pour ce faire je vous invite tout au long de ce mois du travail à réfléchir sur comment renforcer la résilience de nos sociétés, à travers des coopérations et de stratégies efficaces et réalisables afin de combattre les inégalités à l’heure où le monde fait face à divers défis notamment les défis des financements durables, des systèmes de protection sociale, de création d’emplois pour les jeunes, des transitions justes et équitables. Nous avons entamé la validation d’une nouvelle loi portant code du travail de la République Centrafricaine », a déclaré le président
Poursuivant dans cette analyse, il souligne que les centres de formation publique et privée doivent offrir de l’apprentissage de qualité pour relever les défis.
« Enfin de lutter contre les chômages des jeunes et des femmes nous avons entamé les reformes de l’enseignement technique et de la formation professionnelle à travers un mécanisme conjoint celui permettra au ministère en charge de l’enseignement technique et le ministère en charge de la formation professionnelle, d’apporter une assurance qualité dans nos centres de formation publique et privée par le biais de l’apprentissage », a-t-il souligné
II convient de mentionner que ces reformes apportent une valeur ajoutée en terme de qualification en boostant le capital humain en vue de faire usage des compétences locales qu’extérieures.
Source: Ndjoni Sango
Pour plus d’informations et d’analyses sur la CentrAfricaine, suivez Africa-Press
