les autorités doivent se servir des idéaux de Barthélémy Boganda

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les autorités doivent se servir des idéaux de Barthélémy Boganda
les autorités doivent se servir des idéaux de Barthélémy Boganda

Africa-Press – CentrAfricaine. Même si le patriarche Barthélémy Boganda est mort dans des circonstances qui ne sont tellement claires, mais ce dernier a laissé un héritage, la RCA une maison de 623000 Km2. Ainsi, les autorités doivent épouser ses idéaux pour rendre les initiatives quantitatives pour que cela puissent avoir des effets sur les populations.

En effet le feu Barthélémy Boganda s’est beaucoup battu pour que nous ayons l’indépendance et que les Centrafricains célèbrent chaque fois. Mais tout-porte-à croire que jusqu’au jour d’aujourd’hui il y avait un mystère qui entourait sa mort pour la simple raison que son corps n’a jamais été retrouvé.

C’est ainsi que d’aucuns disent qu’il a été enlevé dans l’objectif de subir la prison ailleurs. Certes, il est né vers 1910 et jusqu’à maintenant nous sommes en 2023 s’il pouvait être encore vivant. De la mort naturelle, ce dernier serait déjà mort.

Cependant le président fondateur de la RCA a fait un travail remarquable qui mérite d’être enseigné aux filles et fils de la communauté. II faut dire qu’un enfant peut ressentir un privilège quand on lui fait savoir que c’est son père qui a bâti une telle maison.

Les Centrafricains doivent comprendre qu’une maison bâti ne doit pas rester éternellement mais il faut l’entretenir, la réhabiliter, et cela doit être « protégé » à sa juste valeur. Cette maison est le reflet de la nation et aujourd’hui les Centrafricains se mettent sous le toit de cet héritage pour se protéger contre la pluie, le vent violent, le soleil et, contre les animaux sauvages.

Il parait judicieux de préciser que la maison a grandi ainsi que les populations qui y sont plus qu’auparavant. A cette occasion il faut d’autres types d’actions pour pouvoir faire de sorte que les populations qui ne cessent d’augmenter au jour le jour puissent vivre dans la communion fraternelle et dans la cohésion sociale.

Beaucoup de présidents se sont succédés sans pour autant véritablement épouser l’idéologie de Barthélémy Boganda, pour continuer à travailler dans ce sens tout en apportant une certaine innovation voire certaines initiatives, pour rendre de manière quantitative ou qualitative le travail bâti en amont par ce dernier.

Combien même les Centrafricains ont regretté qu’il soit mort précocement avec des projets en tête mais l’heure n’est plus à la tergiversation. Mettons en pratique cette idéologie pour marquer et contribuer de telle sorte que les projets qu’il a faits puissent vraiment atteindre son but.

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