Africa-Press – CentrAfricaine. Si la vie politique d’un pays doit être animée par les partis ou organisations politiques, l’on est en droit de se demander avec ce qu’on observe chez les opposants politiques centrafricains, quel rôle ceux-ci peuvent encore jouer pour la vitalité démocratique de la RCA. Leur manque d’ouverture et la politique de la chaise vide qu’ils ont adoptée depuis font croire qu’ils ne peuvent participer positivement à l’animation de la scène politique nationale.
Ce qu’on observe chez les opposants politiques centrafricains laisse croire que ceux-ci contrairement au rôle qu’ils devraient jouer pour l’enracinement de la démocratie dans le pays ne peuvent contribuer au développement de la RCA. Leur manque d’ouverture et la vision désuète de la démocratie les empêche d’apporter du positif dans l’œuvre de l’essor national entrepris par les tous les Centrafricains dignes de ce nom.
Ils n’ont jamais fait preuve de bonne foi par rapport aux efforts que déploie pour revitaliser la démocratie centrafricaine du Président de la République et sa main tendue à leur égard. Les Centrafricains doivent se rendre à l’évidence qu’en optant pour la politique de la chaise vide pour le référendum qu’ils ont voté à une grande majorité et en refusant d’aller aux prochaines échéances locales, l’opposition ne défend que ses propres intérêts.
Ce qui prime pour eux, ce sont leurs intérêts égoïstes quitte à s’associer avec des malfaiteurs pour nuire à leur pays. Tous les opposants réunis au sein du BRDC ont eu à avoir des responsabilités dans les tragédies qui ont endeuillé les Centrafricains. Et ils ne peuvent prétendre s’improviser en donneurs de leçons aux autorités du pays qui se démerdent pour enraciner la démocratie dans le pays. L’opposition si elle ne rectifie pas le tir, n’aurai aucun rôle positif à jouer encore sur la scène politique nationale.
Source: Ndjoni Sango
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