Africa-Press – CentrAfricaine. Les procès de la Cour criminelle et la Cour Pénale Spéciale se sont ouverts depuis le début du mois de mai et jugent entre et autres, les cas de crime contre l’humanité, d’harcèlement sexuel, d’atteinte à l’intégrité de l’Etat et plusieurs autres cas d’infractions. Ce qui est une éducation pour le respect de l’intégrité de l’Etat.
Plusieurs cas d’infractions et de violations des droits de l’homme ont été enregistrés en République centrafricaine, durant les moments des crises sécuritaires dans le pays.
Par la suite, de nombreux auteurs de ces actes odieux ont été arrêtés pour être jugés de leurs actes. C’est pourquoi, depuis le début du mois de mai s’est ouverte, la cession criminelle mais aussi le premier procès de la Cour Pénale Spéciale.
Une satisfaction pour Maxime-Aimé Malessembé, un citoyen qui affirme que ce procès est une leçon importante : « Je suis très satisfait du procès de la cession criminelle qui suit son cours en ce moment. Car, beaucoup de temps étaient passés et que les victimes pensent que les différents crimes sont restés impunis. Mais lorsque ces audiences ont démarré, on a entendu certains bourreaux jugés avec des emprisonnements fermes, puis des amendes. Ce qui est une satisfaction et que nous souhaitons que tous les présumés auteurs qui circulent encore, soient arrêtés et jugés », a-t-il lancé.
Les autorités centrafricaines, lors de leur prise de fonction, avaient promis l’impunité zéro pour les différents crimes qui ont été promis. Ces procès viennent confirmer cette promesse, mais beaucoup de défis restent à relever, car certains bandits et bourreaux courent encore dans la nature.
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