le manque de régulation de la circulation à Bangui, un danger pour la population

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le manque de régulation de la circulation à Bangui, un danger pour la population
le manque de régulation de la circulation à Bangui, un danger pour la population

Africa-Press – CentrAfricaine. Les risques dans la circulation routière dans la capitale Bangui devient de plus en plus grandissantes faute d’une régulation efficace qui reste un défi majeur de nos jours. Pour cause, certaines artères et avenues ainsi que des places publiques deviennent étroites à cause des occupations anarchiques par des vendeurs ou encore des conducteurs. Ce qui provoque des

embouteillages voire des accidents mortelles de la circulation.

En effet, après les multiples crises militaro-politiques qui ont secoué la République centrafricaine durant plusieurs années, la vie commence à reprendre son cours normale dans la capitale Bangui et dans certaines villes de provinces.

Cette reprise des activités se fait sentir avec la croissance démographique considérable de la population et la densité de la circulation et les échanges commerciaux dans certains lieux publics comme marché, établissements scolaires, etc.

Mais le grand problème se trouve au niveau de la régulation de la circulation des biens et des personnes dans la capitale. Car, l’occupation anarchique des places publiques à travers les stationnements réduit les espaces en créant des sérieux embouteillages qui provoquent souvent des accidents routiers faute du manque de mécanismes de suivi de régulation de la circulation.

Pour preuve, si l’on essaie aujourd’hui de faire un tour dans les centres commerciaux, des avenues et de certaines places publiques, on constate qu’il y a des installations anarchiques pour la vente des marchandises d’une part et d’autre part, des camions de convoi qui longent les abords des avenus réduisant ainsi l’espace public. Le cas des mototaxis n’est pas à démontrer. Ce qui est un danger pour la population.

La reprise des activités est un soulagement pour de nombreuses familles centrafricaines longtemps meurtries à cause des crises militaro-politiques qui ont fragilisé le pays en freinant plusieurs activités commerciales.

Mais il faudrait que les forces de l’ordre puissent règlementer les activités sur la place publique pour permettre le développement socioéconomique de la République centrafricaine sans aucun danger.

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