Africa-Press – Congo Brazzaville. Le ministre de l’Assainissement urbain, du développement local et de l’entretien routier, Juste Désiré Mondélé a indiqué le 12 mai à Brazzaville que le Cabinet d’Étude indien Alacrity Corporete solutions, présidé par Pranav Kunar, mènera des études dans Brazzaville et Pointe-Noire pour déterminer les modalités de valorisation des déchets après leurs ramassage.
« Comme vous le savez, nous avons signé un contrat de délégation de service public avec la société Albayrak en ce qui concerne le ramassage des déchets. Dans ce cadre, nous avons invité le cabinet Alacrity corporete Solutions Private Limited pour mener une étude à Brazzaville et Pointe-Noire, en ce qui concerne la valorisation de nos déchets solides et liquides. La problématique ici, est de voir dans quel secteur économique, dans le cadre de l’économie circulaire, faire en sorte que les entreprises locales puissent intervenir dans la valorisation de ces déchets », a souligné Juste Désiré Mondélé lors de l’entretien avec la délégation du Cabinet indien, Alacrity Corporete Solutions Private Limited, conduite par son président, Pranav Kunar.
Juste Désiré Mondélé a expliqué que la mise en valeur des déchets, un module de création d’emplois, aidera beaucoup de jeunes, non seulement à créer leur propre start-up dans la matière, mais aussi à être employés dans la valorisation des déchets. « Le cabinet Alacrity Corporete Solutions Private Limited, va produire une étude. Les résultats de cette étude seront mis à la disposition de tous ceux qui voudront intervenir dans le processus du traitement des déchets. Le cabinet Alacrity corporete Solutions Private Limited, est prêt aussi à les accompagner, les assister et les appuyer pour voir dans quelles mesures elles peuvent s’installer en ce qui concerne ce métier », a précisé le ministre chargé de l’assainissement urbain.
Juste Mondélé a fait aussi savoir que l’étude du Cabinet permettra de faire une classification de la méthode de valorisation des déchets. « Nous avons des déchets de plusieurs ordres. Nous avons les déchets liquides, solides, les eaux vagues qui rentrent dans les déchets liquides. L’idée, c’est d’aller vers la production d’électricité, par exemple, vers la fabrication des produits manufacturés. Il y a en tout cas, plus de 1500 déchets journaliers à valoriser », a-t-il conclu.
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