la nécessité d’enseigner la notion du  changement de mentalité dès le cycle primaire

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la nécessité d’enseigner la notion du  changement de mentalité dès le cycle primaire
la nécessité d’enseigner la notion du  changement de mentalité dès le cycle primaire

Africa-Press – Congo Brazzaville. Le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba a échangé le 6 janvier à Brazzaville avec le secrétaire général de l’Organisation non gouvernementale de la Corée du sud « Internationale youth fellowship », le docteur Lee Hun Mok sur l’éducation du changement de mentalité du peuple congolais. Une notion qui devrait être incluse au programme éducatif scolaire dès le cycle primaire.

« Le changement de mentalité a joué un rôle non moins important au développement de la Corée du Sud . Nous avons beaucoup parcouru l’Afrique, le sous-développement du continent me rappelle l’image de notre pays qu’on j’étais à l’école primaire. La Corée a pu sortir de la pauvreté au moment où d’autres pays n’ont pas pu le faire. Si et seulement si le Congo bénéficie d’une éducation sur le changement de mentalité, je crois que ce pays va se développer comme la Corée du sud », a-t-il fait savoir, au terme de son entretien avec le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba.

Lee Hun Mok a souligné que le président de l’Assemblée nationale a exprimé sa volonté de mettre en œuvre l’initiative coréenne de l’éducation sur changement de mentalité en vue de favoriser la prise de conscience nécessaire pour le développement du pays.

Cet échange a été marqué par un exposé sur l’éducation de changement de mentalité qui décline entre autres avantages, le développement de la capacité de réflexion profonde, la création d’un cœur fort et la cohésion par l’échange.

Pour rendre effective cette initiative au Congo, Lee Hun Mok a suggéré au président de l’Assemblée nationale, d’inclure dans le programme éducatif l’enseignement de changement de mentalité dès le cycle primaire, Former les enseignants sur l’éducation de changement de mentalité et envoyer les étudiants se former sur cette notion à l’étranger.

Le secrétaire général de l’ONG Internationale youth fellowship a relevé que cette plateforme est présente dans cinq pays du monde.

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