Fin des travaux de construction des bateaux chalutiers pour la République Démocratique du Congo

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Fin des travaux de construction des bateaux chalutiers pour la République Démocratique du Congo
Fin des travaux de construction des bateaux chalutiers pour la République Démocratique du Congo

Africa-Press – Congo Kinshasa. Les 8 bateaux commandés en Égypte par l’exécutif national, dont 3 d’une longueur de 25 mètres et de 112 tonnes, sont prêts à être acheminés à Boma.

Ces chalutiers baptisés Patrice Emery Lumumba, Simon Kimbangu et Étienne Tshisekedi Wa Mulumba seront affectés pour la pêche au niveau de la côte atlantique.

Le ministre de Pêche et élevage a reçu, mercredi 24 avril 2024, des mains de son collègue des Transports, voies de communication et désenclavement, maître Marc Ekila, des lettres de mer provisoires qui sont l’équivalent de la carte rose pour les véhicules.

Trois bateaux de pêche pimpants neufs de 25 mètres de portée chacun, sont attendus à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP mardi de source officielle.

« Je suis heureux d’apprendre à la communauté congolaise que les travaux des bateaux de pêche pour la RDC sont aujourd’hui terminés », avait déclaré M. Adrien Bokele, ministre de Pêche et élevage, en marge de sa visite de travail en Égypte.

Il a fait savoir que ces engins de 25 mètres de portée chacun et 5 petites embarcations destinées au niveau du fleuve Congo et de ces affluents, sont prévus entre les experts congolais et ceux de l’entreprise avant sa livraison.

« Nous avons eu deux petites étapes qui nous ont pris plus au moins 3 semaines. Les essais techniques se sont faits sur la mer méditerranée avec nos experts et ceux de l’entreprise », a-t-il précisé.

Par ailleurs, le ministre Bokele a souligné que ces bateaux de pêche ont été baptisés Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Patrice-Emery Lumumba et Simon Kimbangu.

L’acquisition de ces bateaux de pêche industrielle est une promesse du chef de l’État, Félix Tshisekedi, aux Congolais en vue de faire face à l’insécurité alimentaire et de réduire l’importation massive de vivres frais.

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