Africa-Press – Congo Kinshasa. Face aux rumeurs faisant étant d’une éventuelle maltraitance des membres de la Task force prise en otage depuis le 16 février, la cellule de communication de cette structure dépêchée en Ituri par le chef de l’État pour sensibiliser les groupes armés à rejoindre le processus de paix fixe l’opinion.
Dans un communiqué de publié ce vendredi 11 mars 2022, la Task force précise que la vie de ces membres prises en otage ne pas en danger pour le moment.
« La task force dément avec fermeté ces mensonges qu’elle qualifie d’infox et d’intox… La vie des otages ne pas en danger pour le moment. Aucune maltraitance n’a été commis ni sur Thomas Lubanga ni sur un autre otage », précise Pitchou Iribi.
Pour lui, ces rumeurs « entretenus par les ennemis du retour de la paix » sont de nature non seulement à mettre en danger la vie des otages mais aussi à réveiller le démon de la guerre ethnique.
La Task force dit plutôt tendre la main à toute personne qui peut s’investir pacifiquement pour notamment obtenir la libération de ces membres.
D’après un tweet de Guershom Basa Zukpa, se réclamant porte parole de CODECO/URDPC largement partagé sur les réseaux sociaux, la vie des otages membres de la Task force serait en danger après l’attaque d’une localité du groupement Jili par les présumés miliciens Zaïre.
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