Africa-Press – Côte d’Ivoire. Il y a des moments où l’histoire politique épouse la ferveur populaire pour ne former qu’un seul souffle. Samedi 11 octobre 2025, à Daloa, la campagne présidentielle du RHDP s’ouvrait dans la liesse, sous une pluie fine que rien ne put transformer en contrainte. Une semaine plus tard, ce samedi 18 octobre, le même élan s’est déployé, cette fois au stade Félix Houphouët-Boigny, cœur battant d’Abidjan. Entre ces deux dates, on note une constante. C’est le tempo Touré Mamadou, chef d’orchestre d’une mobilisation sans faille.
L’homme n’est pas que le porte-étendard d’une jeunesse politique. Il incarne un style, une méthode, une vision. Fidèle à la vision du Président Alassane Ouattara, Touré Mamadou a su faire vibrer la jeunesse du RHDP et même celle issue de plusieurs autres sensibilités au diapason d’une même partition. Oui, celle de la Côte d’Ivoire qui avance, confiante et rassemblée.
Son secret? Lui seul peut révéler l’origine de cette énergie et de ce sens elevé du devoir. À Daloa, comme au Félicia, il ne s’est pas contenté d’ordonner. Il a galvanisé, parlé, partagé, dans un langage que les jeunes comprennent. Je parle du langage du mérite, du courage et de l’espérance.
Sous ses gestes mesurés et sa voix ferme, la foule de jeunes mobilisée répondait comme un chœur parfaitement accordé. Le ministre a trouvé le ton juste. Il a su relier la jeunesse des villes à celle des campagnes, les artisans aux étudiants, les femmes battantes aux militants de l’ombre.
À travers lui, c’est toute une génération qui assume désormais son rôle. Elle veut porter haut le flambeau d’un président, d’un mentor qui a décidé d’être candidat pour les jeunes et pour les femmes.
Touré Mamadou a saisi le sens profond de cette campagne. Le rendez-vous n’est pas qu’électoral. Mais, c’est aussi un pacte générationnel. Quand il affirme que « le 25 octobre, nous voterons la paix, la stabilité et la continuité », il traduit une conviction. Et, cette conviction, nous la partageons. L’œuvre du Président Alassane Ouattara n’est pas achevée. La jeunesse de toute la Côte d’Ivoire réunie en est la garante.
De Daloa à Abidjan, la scène a changé, mais la mélodie est restée la même. Comment ne pas retrouver cette symphonie de fidélité et d’espoir, portée par des milliers de jeunes déterminés à transformer leur gratitude en engagement?
La pluie de Daloa et le soleil du Félicia auront ainsi vu se dessiner la même image. L’image d’un peuple jeune, conscient et fier, décidé à dire merci dans les urnes à celui qui a fait de leur avenir une priorité nationale.
Et dans ce grand mouvement, une main, un regard, une voix guident la cadence. C’est celle de Touré Mamadou, le métronome d’une victoire annoncée.
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