Africa-Press – Djibouti. La première réunion du Comité conjoint de coordination du projet de Développement des capacités du secteur de la pêche pour la promotion de l’économie bleue s’est tenue hier dans la salle de conférence de l’Ayla Grand Hotel.
Cette rencontre a rassemblé plusieurs personnalités, dont le Directeur de la Pêche au ministère de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Mer, chargé des Ressources hydrauliques, M. Ahmed Darar Djibril ; la Représentante résidente par intérim du Bureau de la JICA à Djibouti, Mme Uchida Ayumu ; ainsi que le président du Comité conjoint de coordination du projet Pro-Blue et conseiller technique du ministre, Dr Tabarek Mohamed Ismail, entourés d’un parterre d’invités.
Ce premier rendez-vous du Comité a servi de cadre de concertation pour faire le point sur l’état d’avancement du projet. Il a aussi été un espace décisionnel permettant de résoudre d’éventuelles difficultés et de définir les grandes orientations à venir.
L’objectif principal de cette rencontre consistait à présenter aux parties prenantes une vue d’ensemble du projet et à s’accorder sur les différentes étapes nécessaires à sa mise en œuvre.
Dans son allocution, Mme Uchida Ayumu a rappelé que ce projet s’inscrit dans la continuité de l’accord de coopération signé en juin 2023. Elle a souligné que « la mise en place de ce projet, grâce au soutien du gouvernement japonais, témoigne de l’engagement fort du ministère de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche, de l’Élevage et des Ressources halieutiques – et en particulier de la Direction de la Pêche – en faveur d’une utilisation efficace et durable des ressources halieutiques, conformément à la stratégie nationale pour l’économie bleue ».
Pour sa part, le président du Comité conjoint de coordination, Dr Tabarek Mohamed Ismail, a précisé que « cette première réunion marque le lancement officiel du Projet de développement des capacités du secteur de la pêche pour la promotion de l’économie bleue, plus connu sous le nom de Projet Pro-Blue, dont la durée de mise en œuvre est fixée à trois ans ».
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