Africa-Press – Djibouti. Du 2 au 9 janvier, dans le cadre de la mission ANTARES, le Groupe aéronaval (GAN) a mené de nombreuses activités navales, aériennes et terrestres avec les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Elles ont permis de renforcer les liens interarmées ainsi que la capacité à intervenir conjointement avec les FFDj sous faible préavis.
Le 2 janvier, le groupe aérien embarqué a conduit des missions de Combat recovery visant à récupérer un pilote éjecté en mer. Le même jour, d’autres marins du ciel ont réalisé des missions d’entraînement et de qualifications tactiques en mer et au-dessus du territoire djiboutien.
Du 3 au 7 janvier, trois hélicoptères du GAN ont effectué des manœuvres de navigation tactique et de tirs contre des cibles à terre depuis la base aérienne 188 de Djibouti, seul point d’appui aéronautique français dans la région.
En parallèle, le GAN a participé à des séquences d’aérocombat avec le détachement de la force des fusiliers marins et commandos marine stationné à Arta. Des raids nautiques et des tirs d’entraînement depuis l’Embarcation commando à usage multiple embarquable (ECUME) d’une frégate multi-missions ont été réalisés avant que plusieurs unités du GAN ne prennent part à une simulation d’assaut de vive force aux côtés des commandos, au large de Djibouti.
De plus, le GAN a mené des entraînements avec le détachement de l’aviation légère de l’Armée de Terre (ALAT) de Djibouti. De nombreuses manœuvres de poser rapide (Touch and go) ont été réalisées par des hélicoptères Puma et Gazelle sur les plateformes hélicoptère des escorteurs du GAN. En outre, les aéronefs du GAN ont renforcé leur interopérabilité en s’entraînant avec les avions de l’armée de l’Air et de l’Espace stationnés sur la base aérienne des FFDj et ont pu conduire des tirs de bombes sur un champ de tir djiboutien.
Enfin, hors entraînement, le GAN a été mobilisé pour secourir de nuit un marin blessé sur un pétrolier civil dans le golfe d’Aden. Il a alors dépêché un hélicoptère pour mener cette mission en étroite collaboration avec les FFDj et la marine djiboutienne.
Ce type d’entraînements mutuels illustre le rôle de ce point d’appui. La présence d’une base opérationnelle avancée à Djibouti offre un point d’appui logistique et opérationnel à la France en Afrique de l’Est. Le GAN a ainsi pu s’appuyer le soutien technique de la base navale française et des FFDJ. En outre, dans le cadre de la mission ANTARES, des avions de patrouille maritime Atlantique 2 sont intégrés au GAN et déployés depuis sur la base aérienne 188 à Djibouti. Cette base pivot permet aux armées de contribuer à la maîtrise de l’environnement aéromaritime dans la région.
Du 2 au 9 janvier, dans le cadre de la mission ANTARES, le Groupe aéronaval (GAN) a mené de nombreuses activités navales, aériennes et terrestres avec les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Elles ont permis de renforcer les liens interarmées ainsi que la capacité à intervenir conjointement avec les FFDj sous faible préavis.
Le 2 janvier, le groupe aérien embarqué a conduit des missions de Combat recovery visant à récupérer un pilote éjecté en mer. Le même jour, d’autres marins du ciel ont réalisé des missions d’entraînement et de qualifications tactiques en mer et au-dessus du territoire djiboutien.
Du 3 au 7 janvier, trois hélicoptères du GAN ont effectué des manœuvres de navigation tactique et de tirs contre des cibles à terre depuis la base aérienne 188 de Djibouti, seul point d’appui aéronautique français dans la région.
En parallèle, le GAN a participé à des séquences d’aérocombat avec le détachement de la force des fusiliers marins et commandos marine stationné à Arta. Des raids nautiques et des tirs d’entraînement depuis l’Embarcation commando à usage multiple embarquable (ECUME) d’une frégate multi-missions ont été réalisés avant que plusieurs unités du GAN ne prennent part à une simulation d’assaut de vive force aux côtés des commandos, au large de Djibouti.
De plus, le GAN a mené des entraînements avec le détachement de l’aviation légère de l’Armée de Terre (ALAT) de Djibouti. De nombreuses manœuvres de poser rapide (Touch and go) ont été réalisées par des hélicoptères Puma et Gazelle sur les plateformes hélicoptère des escorteurs du GAN. En outre, les aéronefs du GAN ont renforcé leur interopérabilité en s’entraînant avec les avions de l’armée de l’Air et de l’Espace stationnés sur la base aérienne des FFDj et ont pu conduire des tirs de bombes sur un champ de tir djiboutien.
Enfin, hors entraînement, le GAN a été mobilisé pour secourir de nuit un marin blessé sur un pétrolier civil dans le golfe d’Aden. Il a alors dépêché un hélicoptère pour mener cette mission en étroite collaboration avec les FFDj et la marine djiboutienne.
Ce type d’entraînements mutuels illustre le rôle de ce point d’appui. La présence d’une base opérationnelle avancée à Djibouti offre un point d’appui logistique et opérationnel à la France en Afrique de l’Est. Le GAN a ainsi pu s’appuyer le soutien technique de la base navale française et des FFDJ. En outre, dans le cadre de la mission ANTARES, des avions de patrouille maritime Atlantique 2 sont intégrés au GAN et déployés depuis sur la base aérienne 188 à Djibouti. Cette base pivot permet aux armées de contribuer à la maîtrise de l’environnement aéromaritime dans la région.
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