L’exercice AMITIÉ 2023 renforce la coopération opérationnelle franco-djiboutienne

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L’exercice AMITIÉ 2023 renforce la coopération opérationnelle franco-djiboutienne
L’exercice AMITIÉ 2023 renforce la coopération opérationnelle franco-djiboutienne

Africa-Press – Djibouti. Du 12 au 16 mars, les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont réalisé un exercice de grande ampleur aux côtés des Forces armées djiboutiennes (FAD). L’exercice AMITIÉ s’est axé sur l’interopérabilité entre les forces armées et les forces de sécurité intérieure. Il fait suite à l’exercice de débarquement amphibie WAKRI réalisé quelques semaines auparavant dans la région d’Arta.

Cet exercice annuel bilatéral a consisté en un appui des forces françaises aux FAD, dans le cadre d’un scénario remettant en cause l’intégrité du territoire djiboutien.

Cet exercice a mobilisé de nombreux savoir-faire partagés avec les militaires djiboutiens, démontrant la qualité de leur coopération opérationnelle. Le scénario s’est inscrit dans un environnement multi-milieux et multi-champs, avec des incidents dans tous les champs de la conflictualité.

La manœuvre interarmées s’est déroulée au cœur du pays jusqu’aux portes de Dikhil, en ville à Djibouti, et fictivement, sur les réseaux sociaux. L’exercice a permis d’entrainer tous les niveaux hiérarchiques des composantes terre, mer, et air ainsi que les acteurs opérant dans les champs immatériels.

Le 5e régiment interarmes d’outre-mer, renforcé d’éléments du 61e régiment d’artillerie et les FAD ont participé conjointement à l’exercice. Les hélicoptères de l’armée de Terre ont été engagés en appui des troupes au sol, facilitant l’agilité de la manœuvre et les saisies d’initiatives par le poste de commandement.

En outre, les Mirage 2000 de l’armée de l’Air et de l’Espace, agissant sur alerte jour et nuit, ont étendu les capacités de renseignement et de défense de la Force depuis la BA188. Elle a été renforcée d’un avion CASA des forces armées de la zone sud de l’océan indien et d’un A400M de la base aérienne 123 d’Orléans.

La force adverse était composée par un groupement de commandos parachutistes du 2e et du 3e régiment parachutiste d’infanterie de Marine, de l’île de la Réunion et de Carcassonne. Avec une unité d’aide à l’engagement de la 2ème brigade blindée, ils ont formé un ennemi très mobile et agressif.

Chaque année, les forces djiboutiennes et françaises s’entrainent à mener des opérations interarmées sur un terrain exigeant, dans des conditions proches du réel. L’exercice conjoint AMITIÉ atteste du renforcement des capacités opérationnelles des armées et de la qualité de leur

Du 12 au 16 mars, les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont réalisé un exercice de grande ampleur aux côtés des Forces armées djiboutiennes (FAD). L’exercice AMITIÉ s’est axé sur l’interopérabilité entre les forces armées et les forces de sécurité intérieure. Il fait suite à l’exercice de débarquement amphibie WAKRI réalisé quelques semaines auparavant dans la région d’Arta.

Cet exercice annuel bilatéral a consisté en un appui des forces françaises aux FAD, dans le cadre d’un scénario remettant en cause l’intégrité du territoire djiboutien.

Cet exercice a mobilisé de nombreux savoir-faire partagés avec les militaires djiboutiens, démontrant la qualité de leur coopération opérationnelle. Le scénario s’est inscrit dans un environnement multi-milieux et multi-champs, avec des incidents dans tous les champs de la conflictualité.

La manœuvre interarmées s’est déroulée au cœur du pays jusqu’aux portes de Dikhil, en ville à Djibouti, et fictivement, sur les réseaux sociaux. L’exercice a permis d’entrainer tous les niveaux hiérarchiques des composantes terre, mer, et air ainsi que les acteurs opérant dans les champs immatériels.

Le 5e régiment interarmes d’outre-mer, renforcé d’éléments du 61e régiment d’artillerie et les FAD ont participé conjointement à l’exercice. Les hélicoptères de l’armée de Terre ont été engagés en appui des troupes au sol, facilitant l’agilité de la manœuvre et les saisies d’initiatives par le poste de commandement.

En outre, les Mirage 2000 de l’armée de l’Air et de l’Espace, agissant sur alerte jour et nuit, ont étendu les capacités de renseignement et de défense de la Force depuis la BA188. Elle a été renforcée d’un avion CASA des forces armées de la zone sud de l’océan indien et d’un A400M de la base aérienne 123 d’Orléans.

La force adverse était composée par un groupement de commandos parachutistes du 2e et du 3e régiment parachutiste d’infanterie de Marine, de l’île de la Réunion et de Carcassonne. Avec une unité d’aide à l’engagement de la 2ème brigade blindée, ils ont formé un ennemi très mobile et agressif.

Chaque année, les forces djiboutiennes et françaises s’entrainent à mener des opérations interarmées sur un terrain exigeant, dans des conditions proches du réel. L’exercice conjoint AMITIÉ atteste du renforcement des capacités opérationnelles des armées et de la qualité de leur

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