
Africa-Press – Djibouti. C’est entendu. La vedette de l’athlétisme djiboutien Mohamed Ismaèl Ibrahim a accepté de répondre demain soir à nos questions.
Depuis Stockholm, en Suède, où il se trouve actuellement et où il vient de battre le record national du 3000m, celui qui passe désormais pour le porte-étendard des athlètes djiboutiens qualifiés aux Jeux olympiques de Paris nous a fait savoir qu’il suit avec beaucoup d’intérêt les publications sur notre site concernant la participation de notre pays au plus grand événement sportif mondial.
Il ne cache pas d’emblée son « plaisir à répondre à l’invitation de la rédaction de l’ADI ».
« J’arriverai à Addis-Abeba demain en début de soirée si telle est la volonté de Dieu. Vous pourrez alors me joindre, je serai ravi d’échanger avec vous », nous a-t-il assuré avec sa franchise habituelle.
« Je ne saurai taire ma reconnaissance pour le travail remarquable que vous faites en faveur de la promotion de l’athlétisme djiboutien », a-t-il ajouté, avant de mettre fin à une conversation qui s’est achevée comme elle a commencé… dans la plus grande courtoisie.
C’est entendu. La vedette de l’athlétisme djiboutien Mohamed Ismaèl Ibrahim a accepté de répondre demain soir à nos questions.
Depuis Stockholm, en Suède, où il se trouve actuellement et où il vient de battre le record national du 3000m, celui qui passe désormais pour le porte-étendard des athlètes djiboutiens qualifiés aux Jeux olympiques de Paris nous a fait savoir qu’il suit avec beaucoup d’intérêt les publications sur notre site concernant la participation de notre pays au plus grand événement sportif mondial.
Il ne cache pas d’emblée son « plaisir à répondre à l’invitation de la rédaction de l’ADI ».
« J’arriverai à Addis-Abeba demain en début de soirée si telle est la volonté de Dieu. Vous pourrez alors me joindre, je serai ravi d’échanger avec vous », nous a-t-il assuré avec sa franchise habituelle.
« Je ne saurai taire ma reconnaissance pour le travail remarquable que vous faites en faveur de la promotion de l’athlétisme djiboutien », a-t-il ajouté, avant de mettre fin à une conversation qui s’est achevée comme elle a commencé… dans la plus grande courtoisie.
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