Nouvel aéroport de Libreville : Paillat espère une livraison en 2024

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Nouvel aéroport de Libreville : Paillat espère une livraison en 2024
Nouvel aéroport de Libreville : Paillat espère une livraison en 2024

Africa-Press – Gabon. Le ministre des Transports a émis le vœu, le 9 mai à Libreville, que le nouveau planning du nouvel aéroport de Libreville soit respecté et que l’infrastructure, dont les travaux n’ont pas encore démarré, soit livré dans les temps. «Nous avons bon espoir que cet aéroport verra le jour dans les délais qui ont été indiqués, c’est-à-dire en 2024», a affirmé Brice Constant Paillat.

Appelé de tous ses vœux par les plus hautes autorités, le nouvel aéroport de Libreville trace sa voie. Et le ministre des Transports a bon espoir que le chantier sera livré dans les temps impartis. «Nous avons bon espoir que cet aéroport verra le jour dans les délais qui ont été indiqués, c’est-à-dire en 2024», a affirmé Brice Constant Paillat, le 9 mai à Libreville. Selon le membre du gouvernement, les choses avancent progressivement.

«Toutes les études sont menées à date, le périmètre est circonscrit, les petites barrières juridiques qu’il y avait sont levées. Il y avait quelques obstacles techniques, qu’il fallait regarder avec l’expert technique qui est l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna, ndlr), à l’instar de la luminosité sur la piste, le déplacement d’un certain nombre d’équipements assez sensibles…Tous ces éléments-là ont été examinés, les experts de l’Asecna sont venus à Libreville», a ajouté Brice Constant Paillat.

Il reste cependant, de façon résiduelle, quelques problèmes d’ordre fonciers. «Mais là aussi, toutes les précautions ont été prises, les responsables locaux, notamment les chefs de quartier, madame le gouverneur, tout le monde a été associé pour faire en sorte que le plan de réinstallation soit exécuté sans trop de difficultés», a conclu le ministre des Transports. Promis depuis décembre 2017, le nouvel aéroport de Libreville devrait donc prendre forme sous peu.

Etendue sur une superficie initiale de 915 hectares, la future plateforme, située à une trentaine de kilomètres du centre-ville, sera doté d’une piste d’atterrissage de 3500 m, un terminal présidentiel, une tour de contrôle, un aérogare de passagers de 3300 m2. Elle vise environ 2,25 millions de passagers à l’horizon 2035.

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