Africa-Press – Gabon. Jugeant «exemplaire» la transition menée au Gabon après le coup d’État de fin août 2023, le Secrétaire d’État américain Marco Rubio a récemment obtenu du Congrès la levée des sanctions infligées par les États-Unis au pays qui, selon lui, devrait servir de modèle, particulièrement sur le continent africain. Libreville accueille une nouvelle victoire diplomatique.
Il aura finalement fallu attendre moins de deux ans. Le Congrès américain a levé en début de semaine les sanctions infligées par les États-Unis au Gabon. L’annonce officielle de cette décision a été faite par la diplomatie américaine au président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, non sans le féliciter pour la qualité de la transition menée au Gabon après le coup d’État du 30 août 2023.
À Washington, on reconnaît en effet que cette levée des sanctions intervient assez rapidement, contrairement à d’autres pays. Il faut dire que, face au membres du Congrès, le Gabon avait un bon défenseur en la personne Marco Rubio. Le Secrétaire d’État américain, lit-on dans une lettre adressée au chef de l’Exécutif gabonais, «a expliqué au Congrès que le Gabon a mené une transition exemplaire qui doit servir de modèle».
Conformément à la section 7008 de la loi annuelle sur les crédits du département d’État, les États-Unis avaient suspendu la majeure partie de leur aide au gouvernement gabonais, le 23 octobre 2023. Un mois plus tôt, cette aide extérieure avait déjà été temporairement suspendue, bien que Washington avait assuré poursuivre son aide humanitaire, sanitaire et éducative en faveur des Gabonais, tout en s’engageant à soutenir le pays dans la mise en œuvre d’une transition rapide et durable vers une gouvernance civile démocratique et dans la promotion des intérêts communs en matière de sécurité dans le golfe de Guinée.
À Libreville, cette levée des sanctions est accueillie comme une victoire diplomatique à mettre à l’actif du chef de l’État.
Jugeant «exemplaire» la transition menée au Gabon après le coup d’État de fin août 2023, le Secrétaire d’État américain Marco Rubio a récemment obtenu du Congrès la levée des sanctions infligées par les États-Unis au pays qui, selon lui, devrait servir de modèle, particulièrement sur le continent africain. Libreville accueille une nouvelle victoire diplomatique.
Il aura finalement fallu attendre moins de deux ans. Le Congrès américain a levé en début de semaine les sanctions infligées par les États-Unis au Gabon. L’annonce officielle de cette décision a été faite par la diplomatie américaine au président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, non sans le féliciter pour la qualité de la transition menée au Gabon après le coup d’État du 30 août 2023.
À Washington, on reconnaît en effet que cette levée des sanctions intervient assez rapidement, contrairement à d’autres pays. Il faut dire que, face au membres du Congrès, le Gabon avait un bon défenseur en la personne Marco Rubio. Le Secrétaire d’État américain, lit-on dans une lettre adressée au chef de l’Exécutif gabonais, «a expliqué au Congrès que le Gabon a mené une transition exemplaire qui doit servir de modèle».
Conformément à la section 7008 de la loi annuelle sur les crédits du département d’État, les États-Unis avaient suspendu la majeure partie de leur aide au gouvernement gabonais, le 23 octobre 2023. Un mois plus tôt, cette aide extérieure avait déjà été temporairement suspendue, bien que Washington avait assuré poursuivre son aide humanitaire, sanitaire et éducative en faveur des Gabonais, tout en s’engageant à soutenir le pays dans la mise en œuvre d’une transition rapide et durable vers une gouvernance civile démocratique et dans la promotion des intérêts communs en matière de sécurité dans le golfe de Guinée.
À Libreville, cette levée des sanctions est accueillie comme une victoire diplomatique à mettre à l’actif du chef de l’État.
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