Transparence électorale : Bruno Ngoussi et la société civile déposent leur mémorandum

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Transparence électorale : Bruno Ngoussi et la société civile déposent leur mémorandum
Transparence électorale : Bruno Ngoussi et la société civile déposent leur mémorandum

Africa-Press – Gabon. Après la plateforme des partis politiques et regroupements des partis politiques de l’opposition (PG41) qui a remis dernièrement un mémorandum au président de la Cour constitutionnelle, et les propositions du Mouvement Agir, une délégation de la plateforme nationale de la société civile gabonaise conduite par le pasteur Georges Bruno Ngoussi a également déposé, le 7 juillet, son mémorandum, visant le même objectif.

À quelques quinze mois de la prochaine grande échéance électorale au Gabon, en l’occurrence le scrutin présidentiel, les acteurs politiques de l’opposition, pour la majorité, cherchent visiblement des voies et moyens pour aboutir à des élections transparentes, crédibles et aux résultats incontestables. Mais ce résultat passe par des propositions concrètes devant améliorer le Code électoral et tout le processus électoral. C’est dans ce sens que le 7 juillet dernier, une délégation de la plate-forme nationale de la société civile gabonaise conduite par son président, le pasteur Georges Bruno Ngoussi, a déposé un mémorandum auprès de plusieurs institutions de la République, notamment la Cour constitutionnelle et les deux chambres du Parlement.

Comme pour la plateforme des partis politiques et regroupements des partis politiques de l’opposition (PG41), ce document qui s’articule autour de 11 points vise particulièrement à apporter des ajustements pouvant être intégrés dans le Code électoral en vue de son amélioration. Georges Bruno Ngoussi et les siens estiment qu’il existe des irrégularités dans la loi électorale, mettant ainsi à mal le processus électoral au Gabon.

«Nous avons fait des propositions. Si elles sont prises en compte, elles nous amèneront à vivre dans un véritable Etat de droit parce que nous n’y sommes pas encore. Et pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui, après chaque élection, il y a toujours mort d’homme, il y a toujours dommage quelque part», a fait savoir Bruno Ngoussi. Pour le leader religieux, «il faudrait que les Gabonais s’entendent pour mettre en place des instruments démocratiques fiables afin qu’après chaque élection, le perdant félicite le gagnant et que le gagnant se mette au travail».

Dans le document, cette plateforme propose plusieurs éléments dont l’implication de la Société civile dans le processus électoral, depuis le Centre gabonais des élections (CGE) jusqu’au bureau de vote où qu’il se trouve. Elle propose également «la présence systématique des Missions d’observation aux élections, principalement à l’élection présidentielle ; l’affichage et la diffusion des procès-verbaux sur Internet comme cele se fait aux différents examens de l’éducation nationale et dans les bureaux de vote ; l’indépendance des médias publics, l’indépendance de la Haute autorité de la communication (Hac) ; l’uniformisation du coût de la campagne électorale au même titre que la caution de candidature afin de minimiser les candidatures fantaisistes».

Globalement, ce mémorandum rejoint ceux déposés par les autres plateformes de l’opposition pour l’amélioration du système électoral gabonais.

À quelques quinze mois de la prochaine grande échéance électorale au Gabon, en l’occurrence le scrutin présidentiel, les acteurs politiques de l’opposition, pour la majorité, cherchent visiblement des voies et moyens pour aboutir à des élections transparentes, crédibles et aux résultats incontestables. Mais ce résultat passe par des propositions concrètes devant améliorer le Code électoral et tout le processus électoral. C’est dans ce sens que le 7 juillet dernier, une délégation de la plate-forme nationale de la société civile gabonaise conduite par son président, le pasteur Georges Bruno Ngoussi, a déposé un mémorandum auprès de plusieurs institutions de la République, notamment la Cour constitutionnelle et les deux chambres du Parlement.

Comme pour la plateforme des partis politiques et regroupements des partis politiques de l’opposition (PG41), ce document qui s’articule autour de 11 points vise particulièrement à apporter des ajustements pouvant être intégrés dans le Code électoral en vue de son amélioration. Georges Bruno Ngoussi et les siens estiment qu’il existe des irrégularités dans la loi électorale, mettant ainsi à mal le processus électoral au Gabon.

«Nous avons fait des propositions. Si elles sont prises en compte, elles nous amèneront à vivre dans un véritable Etat de droit parce que nous n’y sommes pas encore. Et pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui, après chaque élection, il y a toujours mort d’homme, il y a toujours dommage quelque part», a fait savoir Bruno Ngoussi. Pour le leader religieux, «il faudrait que les Gabonais s’entendent pour mettre en place des instruments démocratiques fiables afin qu’après chaque élection, le perdant félicite le gagnant et que le gagnant se mette au travail».

Dans le document, cette plateforme propose plusieurs éléments dont l’implication de la Société civile dans le processus électoral, depuis le Centre gabonais des élections (CGE) jusqu’au bureau de vote où qu’il se trouve. Elle propose également «la présence systématique des Missions d’observation aux élections, principalement à l’élection présidentielle ; l’affichage et la diffusion des procès-verbaux sur Internet comme cele se fait aux différents examens de l’éducation nationale et dans les bureaux de vote ; l’indépendance des médias publics, l’indépendance de la Haute autorité de la communication (Hac) ; l’uniformisation du coût de la campagne électorale au même titre que la caution de candidature afin de minimiser les candidatures fantaisistes».

Globalement, ce mémorandum rejoint ceux déposés par les autres plateformes de l’opposition pour l’amélioration du système électoral gabonais.

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