Première Dame Offre Deux Ambulances pour Boé et Sonaco

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Première Dame Offre Deux Ambulances pour Boé et Sonaco
Première Dame Offre Deux Ambulances pour Boé et Sonaco

Africa-Press – Guinee Bissau. La Première Dame a remis, mercredi, deux ambulances aux secteurs sanitaires de Boé et Sonaco, tous deux situés dans la région de Gabu, à l’est de la Guinée-Bissau, dans le but de venir en aide aux populations vulnérables.

Les deux véhicules ont été remis aux autorités locales par l’assistante de la Première Dame, Gilda Lobo de Pina, qui a souligné que Dinisia Reis Embaló est attentive aux besoins, en particulier dans les domaines de la santé et de l’éducation.

Lobo de Pina a mentionné que l’année dernière, plusieurs demandes d’ambulances et de matériel hospitalier avaient été reçues, ce qui a poussé la Première Dame à visiter l’Hôpital National Simão Mendes, où elle a constaté le manque de matériel.

« Après la visite au plus grand hôpital de Guinée-Bissau, la Première Dame a lancé un processus de collecte et d’achat du matériel nécessaire, en commençant par les lits, puis des machines diverses, des stérilisateurs, entre autres », a expliqué Gilda.

Elle a ajouté qu’au cours de l’année en cours, des ambulances ont été remises à l’Hôpital Militaire ainsi qu’aux secteurs de Boé et Sonaco.

« Plus les gens sont éloignés, moins ils ont accès. Une ambulance facilitera sans doute l’arrivée des patients dans les centres hospitaliers pour qu’ils puissent être soignés et éviter que le pire ne se produise », a déclaré Lobo de Pina.

Elle a révélé qu’il était prévu d’effectuer davantage de livraisons de matériel hospitalier dans d’autres régions du pays, et que la Première Dame ne ménagera pas ses efforts pour promouvoir le bien-être des populations de Guinée-Bissau.

Présent lors de l’événement, le ministre de la Santé Publique, Pedro Tipote, a remercié le geste de la Première Dame et a demandé qu’elle poursuive ses actions humanitaires pour promouvoir le bien-être du peuple guinéen.

« Les ambulances sont destinées à sauver des vies, et non à être utilisées par les agents de santé », a déclaré Tipote.

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