
Africa-Press – Guinee Equatoriale. Les efforts visant à éliminer la trypanosomiase humaine africaine (THA), également connue sous le nom de maladie du sommeil, continuent d’afficher d’excellents progrès, conformément aux objectifs fixés dans la feuille de route 2030 de l’OMS pour le contrôle, l’élimination et l’éradication des maladies tropicales négligées.
La trypanosomiase humaine africaine a deux formes principales, appelées gambiense et rhodesiense, et se transmet généralement par contact avec des glossines infectées.
La Guinée équatoriale a maintenant été validée par l’OMS comme étant le dernier pays à avoir éliminé la forme gambiense de la maladie en tant que problème de santé publique à l’intérieur de ses frontières.
L’incidence générale de la forme gambiense de la maladie a fortement diminué au cours de ce siècle. En 2021, 750 cas ont été signalés dans 11 pays d’endémie, ce qui représente une réduction de 95 % du nombre de cas par rapport au chiffre de 2001 (26 095 cas). D’autres pays ont également vu leur élimination de la maladie comme un problème de santé publique validé par l’OMS récemment – la Guinée équatoriale rejoint maintenant le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Togo et l’Ouganda sur cette liste croissante.
Le travail et l’engagement de longue date du ministère de la Santé de la Guinée équatoriale, à travers son Programme national de lutte contre la trypanosomiase humaine africaine (PNCTHA), ont permis au pays d’atteindre le seuil établi pour valider l’élimination. Ce seuil est défini comme inférieur à 1 cas pour 10 000 habitants en moyenne, sur les cinq dernières années, dans l’ensemble des districts sanitaires du pays. La validation de l’élimination exige que les pays soumettent des dossiers détaillés à l’OMS. Ceux-ci sont ensuite évalués par un groupe d’experts indépendants, qui déterminent si les critères d’élimination en tant que problème de santé publique sont remplis.
Les efforts visant à éliminer la trypanosomiase humaine africaine (THA), également connue sous le nom de maladie du sommeil, continuent d’afficher d’excellents progrès, conformément aux objectifs fixés dans la feuille de route 2030 de l’OMS pour le contrôle, l’élimination et l’éradication des maladies tropicales négligées.
La trypanosomiase humaine africaine a deux formes principales, appelées gambiense et rhodesiense, et se transmet généralement par contact avec des glossines infectées.
La Guinée équatoriale a maintenant été validée par l’OMS comme étant le dernier pays à avoir éliminé la forme gambiense de la maladie en tant que problème de santé publique à l’intérieur de ses frontières.
L’incidence générale de la forme gambiense de la maladie a fortement diminué au cours de ce siècle. En 2021, 750 cas ont été signalés dans 11 pays d’endémie, ce qui représente une réduction de 95 % du nombre de cas par rapport au chiffre de 2001 (26 095 cas). D’autres pays ont également vu leur élimination de la maladie comme un problème de santé publique validé par l’OMS récemment – la Guinée équatoriale rejoint maintenant le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Togo et l’Ouganda sur cette liste croissante.
Le travail et l’engagement de longue date du ministère de la Santé de la Guinée équatoriale, à travers son Programme national de lutte contre la trypanosomiase humaine africaine (PNCTHA), ont permis au pays d’atteindre le seuil établi pour valider l’élimination. Ce seuil est défini comme inférieur à 1 cas pour 10 000 habitants en moyenne, sur les cinq dernières années, dans l’ensemble des districts sanitaires du pays. La validation de l’élimination exige que les pays soumettent des dossiers détaillés à l’OMS. Ceux-ci sont ensuite évalués par un groupe d’experts indépendants, qui déterminent si les critères d’élimination en tant que problème de santé publique sont remplis.
Le représentant de l’OMS dans le pays, le Dr George Fom Ameh, transmettant une lettre officielle reconnaissant cette réalisation au ministre de la Santé de la Guinée équatoriale, le Dr Diosdado Vicente Nsue Milang
Le 10 juin 2022, le représentant de l’OMS dans le pays, le Dr George Fom Ameh, a transmis une lettre officielle reconnaissant cette réalisation au ministre de la Santé de la Guinée équatoriale, le Dr Diosdado Vicente Nsue Milang. La lettre a été signée par le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.
L’élimination de la THA à gambiense en tant que problème de santé publique est une étape importante sur la voie de la réalisation de l’objectif plus ambitieux d’élimination de la transmission. La Guinée équatoriale s’est désormais engagée à maintenir sa capacité de surveillance, afin de garantir la poursuite du dépistage et du diagnostic dans les populations à risque de contracter la maladie. Il reste également déterminé à garantir qu’il existe un traitement adéquat pour tout nouveau cas détecté et à contrôler les populations de mouches tsé-tsé.
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