Africa-Press – Guinee Equatoriale. Cet accord représente un pas vers l’extension de la coopération entre Malabo et New Delhi dans le domaine de la santé. Lors de la rencontre, Naik Muda a souligné les avantages de la médecine traditionnelle et l’utilisation des plantes médicinales, y compris l’aloe vera. « Le système de santé de médecine traditionnelle est très bon, car il n’a pas d’effets secondaires, puisque les médicaments sont fabriqués à partir de matières premières », a déclaré le ministre indien, soulignant la volonté de son pays de soutenir la Guinée équatoriale dans ce secteur.
Le ministre indien a également présenté un système de contrôle des médicaments que l’Inde souhaite mettre en place en Guinée équatoriale. Ce système permettra un contrôle rigoureux des médicaments entrant dans le pays, garantissant ainsi leur qualité et sécurité.
De son côté, Mitoha Ondo’o Ayecaba a montré la disponibilité de son département à collaborer avec l’Inde, en plus d’expliquer les efforts du gouvernement équato-guinéen pour renforcer les services de santé, mettant particulièrement l’accent sur les programmes de VIH. « Nous avons des programmes de VIH qui fonctionnent depuis plus de 15 ans, et le gouvernement a pratiquement été seul à assurer le traitement de tous les séropositifs enregistrés. L’Inde, en tant que leader dans la production de médicaments, nous aimerions qu’il y ait un soutien de la part de ce pays asiatique envers la Guinée équatoriale », a ajouté Ondo’o Ayecaba.
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