Le défi de la bioimpression 3D

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Le défi de la bioimpression 3D
Le défi de la bioimpression 3D

Africa-Press – Senegal. Mimer au mieux un tissu humain ou un organe : c’est le défi de la bioimpression 3D, grâce à laquelle les chercheurs peuvent tester l’effet d’un médicament ou d’une radiothérapie sur des organoïdes, modèles simplifiés du foie, de la peau, etc. Pour former ce tissu, un laser détache, une à une, des nano-gouttelettes de cellules en culture.

Une circulation sanguine nécessaire

Mais pour pallier le déficit d’organes humains et fabriquer des structures transplantables, il faudrait que celles-ci soient irriguées par une circulation sanguine qui les nourrisse et les oxygène. Des appareils capables d’initier cette circulation sont en cours de test. Une fois imprimé, le tissu est connecté à l’un d’eux, qui établit un flux continu dans les vaisseaux. À terme, cette technologie permettrait la formation du réseau de capillaires, les vaisseaux les plus fins, à l’intérieur de l’organe ou du tissu, permettant leur transplantation.

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