Africa-Press – Senegal. Formés dans les premières fractions de seconde qui suivent le Big Bang, les trous noirs primordiaux seraient issus de fluctuations quantiques du plasma.
De quelques grammes à plusieurs centaines de milliers de masses solaires
Leur masse pouvait varier de quelques grammes à plusieurs centaines de milliers de masses solaires ! Les plus légers d’entre eux se sont évaporés depuis, et seuls ceux dont la masse dépassait 1011 kg pourraient être observés aujourd’hui.
Des cicatrices de l’espace-temps
Problème : ils ne seraient pas plus gros qu’un atome… Il est aussi possible que les cadavres des premiers soient toujours présents sous la forme de reliques de Planck, des cicatrices de l’espace-temps, derniers témoins de leur existence, dont la masse n’excéderait pas 10-8 kg pour une taille infinitésimale.
Leur existence, si elle était prouvée, pourrait permettre de résoudre des problèmes fondamentaux comme la matière noire ou l’existence des trous noirs supermassifs dont ils seraient les graines.
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