Wakit Tamma dénonce une “répression sauvage” de sa marche

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Wakit Tamma dénonce une "répression sauvage" de sa marche

Africa-PressTchad. Wakit Tamma a donné un premier bilan : un policier serait mort en se rompant le cou suite à une chute libre lors d’une course poursuite des manifestants dans les quartiers, une vingtaine de personnes ont été blessées, un commerçant a été touché par balle réelle et se trouve dans un état critique, plusieurs personnes ont été arrêtées et des femmes ont été agressées physiquement sur la voie publique.

Wakit Tamma note également des débats matériels au siège des Transformateurs, dans le 7ème arrondissement où ont eu lieu les violences. “Cette brutalité des agents des forces de l’ordre est d’autant plus inadmissible que la marche était entièrement pacifique et de sucroît autorisée”, affirment Me.

Max Loalngar et Dr. Sitack Yombatina, représentants de Wakit Tamma. La police nationale a prévenu la veille que le non-respect de l’itinéraire officiel du rond-point Hamama au Palais du 15 janvier aurait des conséquences.

“Cette brutalité des agents des forces de l’ordre est d’autant plus inadmissible que la marche était entièrement pacifique et de sucroît autorisée”, affirment Me.

Max Loalngar et Dr. Sitack Yombatina, représentants de Wakit Tamma. Ils dénoncent des “entraves à la liberté d’expression” et affirment que ces actes de répression ne resteront pas impunis.

“Ils feront l’objet d’une documentation à l’effet d’être transmis au procureur de la Cour pénale internationale en complément du dossier pendant devant cette instance”, selon Wakit Tamma.

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