elle confisque le bébé de sa domestique après la disparition de deux assiettes

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Tchad : elle confisque le bébé de sa domestique après la disparition de deux assiettes
Tchad : elle confisque le bébé de sa domestique après la disparition de deux assiettes

Africa-PressTchad. Une jeune femme domestique travaillant dans une famille d’un quartier de Moundou s’est vu confisquer son bébé par sa patronne qui l’a accusé d’avoir volé deux de ses assiettes. L’affaire s’est déroulée le 25 juillet.

La jeune dame, après avoir travaillé pendant sept mois sans salaire, est venue réclamer son dû à sa patronne Zénaba. Ne voulant pas payer l’argent de sa domestique, la patronne a accusé cette dernière d’avoir volé deux de ses assiettes. Chose que la domestique ne reconnait pas. La patronne décide alors de confisquer le bébé de la jeune dame en contrepartie de ses assiettes.La domestique ne sachant que faire n’avait que ses larmes pour pleurer. Mains sur la tête, elle a sillonné les rues de la ville en pleurant. C’est alors qu’elle a rencontré un assistant juridique de l’Association pour la promotion des libertés fondamentales du Tchad (APLFT) de Moundou qui, après l’avoir attentivement écouté et ayant lui-même constaté les faits, a aussitôt alerté la police du commissariat n° 4 qui est intervenue pour récupérer le bébé et le rendre à sa maman.La patronne en question est en garde à vue au commissariat de police. Interrogé, elle affirme qu’elle plaisantait juste avec sa bonne. Comme quoi la vie d’un être humain vaut plus que le matériel.

La jeune dame, après avoir travaillé pendant sept mois sans salaire, est venue réclamer son dû à sa patronne Zénaba. Ne voulant pas payer l’argent de sa domestique, la patronne a accusé cette dernière d’avoir volé deux de ses assiettes. Chose que la domestique ne reconnait pas. La patronne décide alors de confisquer le bébé de la jeune dame en contrepartie de ses assiettes.

La domestique ne sachant que faire n’avait que ses larmes pour pleurer. Mains sur la tête, elle a sillonné les rues de la ville en pleurant. C’est alors qu’elle a rencontré un assistant juridique de l’Association pour la promotion des libertés fondamentales du Tchad (APLFT) de Moundou qui, après l’avoir attentivement écouté et ayant lui-même constaté les faits, a aussitôt alerté la police du commissariat n° 4 qui est intervenue pour récupérer le bébé et le rendre à sa maman.La patronne en question est en garde à vue au commissariat de police. Interrogé, elle affirme qu’elle plaisantait juste avec sa bonne. Comme quoi la vie d’un être humain vaut plus que le matériel.

La domestique ne sachant que faire n’avait que ses larmes pour pleurer. Mains sur la tête, elle a sillonné les rues de la ville en pleurant. C’est alors qu’elle a rencontré un assistant juridique de l’Association pour la promotion des libertés fondamentales du Tchad (APLFT) de Moundou qui, après l’avoir attentivement écouté et ayant lui-même constaté les faits, a aussitôt alerté la police du commissariat n° 4 qui est intervenue pour récupérer le bébé et le rendre à sa maman.

La domestique ne sachant que faire n’avait que ses larmes pour pleurer. Mains sur la tête, elle a sillonné les rues de la ville en pleurant. C’est alors qu’elle a rencontré un assistant juridique de l’Association pour la promotion des libertés fondamentales du Tchad (APLFT) de Moundou qui, après l’avoir attentivement écouté et ayant lui-même constaté les faits, a aussitôt alerté la police du commissariat n° 4 qui est intervenue pour récupérer le bébé et le rendre à sa maman.

La patronne en question est en garde à vue au commissariat de police. Interrogé, elle affirme qu’elle plaisantait juste avec sa bonne. Comme quoi la vie d’un être humain vaut plus que le matériel.

La patronne en question est en garde à vue au commissariat de police. Interrogé, elle affirme qu’elle plaisantait juste avec sa bonne. Comme quoi la vie d’un être humain vaut plus que le matériel. Source : Al Widha

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