Togo/3 mai 2020 – 3 mai 2022 Colonel Madjoulba, le célèbre cadavre prisonnier de la République

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Togo/3 mai 2020 – 3 mai 2022 Colonel Madjoulba, le célèbre cadavre prisonnier de la République
Togo/3 mai 2020 – 3 mai 2022 Colonel Madjoulba, le célèbre cadavre prisonnier de la République

Africa-Press – Togo. Deux ans déjà que le corps de l’ancien commandant du premier Bataillon d’Intervention Rapide (BIR) dort dans les tiroirs de la morgue du CHU-Sylvanus Olympio.

Plus grave, on parle de l’amputation de certaines parties du corps. C’est comme si Faure aime tant des prisonniers au point d’emprisonner un cadavre. Tout ce qui se passe dans notre petit rectangle dépasse l’entendement.

Le drame, c’est que quand Faure décide de violer nos droits il n’existe aucun contre-pouvoir pour lui dire non. Même pas M. Kondi AGBA le sage d’UNIR.

Au lendemain de l’assassinat du colonel MADJOULBA dans cette nuit noire du 03 au 04 mai 2020, on a mis en place une commission d’enquête, on a commandité une enquête française et une enquête ghanéenne.

Aucune des trois enquêtes n’a livré ses Née de la lutte ouvrière au XIXème siècle, la fête du 1 er mai a été célébrée sur le plan international le dimanche dernier.

Au Togo, malgré tout, la population a pu observer cette journée qui conserve la durée du travail journalier à 8 h. Les Togolais, à l’instar de ceux du monde entier ont observé ce dimanche 1er mai 2022, la journée internationale du travail.

Célébrée sous la menace de la vie chère et dans le respect des mesures barrières dans le cadre de la lutte contre le Malgré la vie chère, la fête du 1er mai a eu lieu COVID-19, l’ambiance n’a pas été forte.

Les travailleurs des différentes activités ont su s’organiser à leur manière pour célébrer cette fête. A Lomé, nous avons pu constater des visites sur la plage, des ambiances dans les bars, etc.

qui sont des rencontres des travailleurs dans une ambiance festive. Jacques secrets. Entre-temps, parmi ceux qui étaient arrêtés et emprisonnés, certains ont été libérés. Sur quelle base ? Personne ne le sait.

Pourquoi Faure méprise-t-il tant les Togolais ? Nous sommes moins que rien ? Qu’il se place dans la situation de la famille MADJOULBA et de tous les fils et filles de Siou. On assassine un des leurs et on les empêche de porter le deuil.

On nous a appris que si enterrement doit avoir lieu, ce sera fait par des militaires ! Ses camarades militaires sont-ils devenus ses parents ? Les autres militaires morts sont-ils enterrés par leurs frères d’armes ? De quoi a-t-on peur ? Si on n’a pas eu peur de l’assassiner à bout portant, c’est le cadavre qui doit faire peur ? Dieu, ait pitié des Togolais !

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