Africa-Press – Togo. Ce n’est pas un cancer de la prostate qui conduisit Voltaire (1694-1778) à prendre de fortes doses d’opium pour calmer ses douleurs les semaines avant sa mort, mais un cancer de la vessie. Une recherche dirigée par Philippe Charlier, médecin légiste et paléopathologiste de l’Université Paris-Saclay.
Des calculs biliaires récurrents
C’est l’analyse fine de son cœur embaumé, conservé à la Bibliothèque nationale de France, qui a mis en évidence une protéine spécifique de la tumeur – probablement provoquée dans son cas par des calculs biliaires récurrents.
On sait maintenant de quoi est mort Voltaire !
L’étude de son coeur embaumé (conservé à la @GallicaBnF) et de son rapport d’autopsie (inédit, conservé aux @ArchivesnatFr), par le @LAAB_Labo, @CEAParisSaclay et @HopitalFoch est à découvrir ici: https://t.co/xUiRsd1DUm pic.twitter.com/1w8EF7uPBR
— Philippe Charlier (@doctroptard) September 29, 2025
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