Affaire Camus Mimb/Marie Thérèse Abena Ondoa (ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille): «Je dénonce avec la dernière énergie des tels actes odieux et j’en appelle à une synergie d’action pour qu’une lutte sans merci soit menée contre les auteurs»

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Affaire Camus Mimb/Marie Thérèse Abena Ondoa (ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille): «Je dénonce avec la dernière énergie des tels actes odieux et j’en appelle à une synergie d’action pour qu’une lutte sans merci soit menée contre les auteurs»
Affaire Camus Mimb/Marie Thérèse Abena Ondoa (ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille): «Je dénonce avec la dernière énergie des tels actes odieux et j’en appelle à une synergie d’action pour qu’une lutte sans merci soit menée contre les auteurs»

Africa-PressCameroun. C’était le 16 juin 2021, jour de la commémoration de la Journée de l’enfant africain. La nudité de la jeune Malicka était dévoilée sur Internet suite à une partie fine réalisée dans le bureau du journaliste Martin Camus Mimb, promoteur de la chaîne privée Radio Sport Info (RSI), basée à Douala.

Une semaine après, au regard de l’ampleur du scandale, la ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille (MINPROFF) était face à la presse ce mercredi 23 juin à Yaoundé. L’occasion pour Marie Thérèse Abena Abena d’exprimer son indignation face à un phénomène qui tend à se généraliser.

«Le cas le plus récent est celui d’une jeune fille de 18 ans, filmée en plein ébats sexuels, dont les images et la vidéo ont été balancées dans les réseaux sociaux. Ce triste évènement s’est déroulé le mercredi 16 juin 2021. Jour pourtant dédié à la célébration de l’enfant africain. Quel message voulaient-ils passé ?

Ces actes, qui ôtent la dignité à nos enfants sont de plus en plus fréquents et font l’objet de commentaires d’une violence inqualifiable, livrant les victimes à une sorte de vindicte populaire»

, a regretté le membre du gouvernement.

«Je saisis cette occasion,

a-t-elle poursuivi, pour dénoncer avec la dernière énergie de tels actes odieux et malsains qui chosifient la jeune femme, en font un objet sexuel, dénué de toute valeur».

La MINPROFF assurent les victimes et leurs familles du soutien du gouvernement et «en appelle à une synergie d’action à la lutte contre ces fléaux… pour qu’une lutte sans merci soit menée contre les auteurs».

Ci-dessous la déclaration de Marie Thérèse Abena Ondoa:

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