Bamenda : ivre, ce militaire abat froidement son camarade et s’enfuit

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Bamenda : ivre, ce militaire abat froidement son camarade et s’enfuit
Bamenda : ivre, ce militaire abat froidement son camarade et s’enfuit

Africa-PressCameroun. • l’incident a eu lieu à Bamenda

• Le militaire était ivre

• Il a pris la fuite après avoir tué son frère d’arme

L’information a été révélée à la rédaction de Camerounweb.com par ses sources concordantes. Un militaire au grade d’adjudant-chef, en état d’ivresse a tué un autre militaire au grade de sous-officier à Bamenda.

L’Adjudant-chef en question qui officie au génie militaire a tiré à balles réelles sur un élève Sous-officier des armées de la promotion 2019 au nom de Belporo Hamid, affecté tout récemment à la 51e BCS de Bamenda.

Après son forfait l’adjudant-chef en question a pris la poudre d’escampette avec sa voiture de service. Mais la plaque du véhicule a été relevée. L’élève sous-officier des armées après l’incident est mort dimanche 19 septembre 2021 à l’hôpital militaire de Bamenda. Il faut préciser que la victime devait porter le grade de sergent dans 11 jours c’est-à-dire ce 1er octobre 2021.

Un diplomate camerounais ivre et violent

C’est une scène inhabituelle que des agents de la police municipale de Paris ont vécu dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 septembre 2021 dernier, rue du Maréchal-Foch, à Versailles à Paris.

En effet, selon les confidences du lanceur d’alertes camerounais Boris Bertolt, un diplomate camerounais âgé de 43 ans a affirmé avoir été copieusement frappé par son épouse.

Totalement ivre, l’homme aurait refusé de se soumettre à un test par éthylomètre et a refusé de révéler son identité obligeant les agents à le conduire au commissariat.

Boris Bertolt précise que l’épouse s’est présentée au commissariat avec le passeport diplomatique de son conjoint.

« Elle a aussi expliqué qu’elle s’était bagarrée avec lui car elle ne voulait pas qu’il conduise en ayant bu de l’alcool. Sur avis du parquet, l’homme a été placé en garde à vue. », confie l’activiste

La rédaction de Camerounweb apprend aussi que la police française a saisi le ministère français des affaires étrangères qui a contacté l’ambassade du Cameroun.

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