Révélations sur les pratiques sataniques des Illuminatis à Etoudi

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Révélations sur les pratiques sataniques des Illuminatis à Etoudi
Révélations sur les pratiques sataniques des Illuminatis à Etoudi

Africa-Press – Cameroun. Dans cette tribune aux accents ésotériques, l’auteur développe une théorie selon laquelle le Cameroun serait au cœur d’une bataille entre forces occultes internationales. À travers une analyse mêlant politique et mysticisme, il dresse un parallèle entre le parcours de Laurent Gbagbo et la situation camerounaise, tout en dépeignant le président Paul Biya comme un initié ayant su déjouer les plans d’une prétendue “Haute finance satanique”. Un texte qui illustre la prégnance des théories du complot et des croyances mystiques dans l’analyse politique en Afrique subsaharienne.

Le sort du Cameroun serait entre les mains des Hautes Finances Sataniques selon l’auteur

Nous sommes déjà dans la configuration où le N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial) connaît déjà son anéantissement. Et le cas du Cameroun est à l’avant-garde de cette certitude.

1. La particularité de Laurent Gbagbo

À l’instar de Patrice Lumumba, Mpodol Ruben Um Nyobè, Samora Machel et Thomas Sankara, etc, Laurent Gbagbo a le nationalisme et le panafricainisme inscrits dans ses gènes, et c’est l’un des rarissime cas de leader de cette envergure à avoir échappé à une mort commandité.

Son crime de lèse-impérialiste est d’avoir découvert une fois arrivé au pouvoir, que les richesses de son pays appartenaient à la France qui la gérait pour la Communauté internationale dirigée par les Illuminatis et d’avoir entrepris de tout remettre à plat concernant les relations entre son pays et la France, et en refusant impunément les offrandes des gens qui ont toujours procédé ainsi pour avoir la main-mise sur les richesses des pays du Sud.

Pour ceux qui le connaissent, son incorruptibilité et son honnêteté sont son armure, et le sens de son devoir envers son peuple est en dehors des normes impérialistes.

Si d’aventure, les véritables patriotes républicains de Côte d’Ivoire se mobilisent spirituellement, et avec intelligence, c’est lui le prochain Président élu. Il ne faut pas attendre d’être plusieurs pour commencer.

2. Les manœuvres déstabilisatrices de la Haute finance satanique

Il n’y a pas qu’au Cameroun que des personnes du sérail, ou proches du pouvoir, sont indexés d’avoir pactisé avec Belzébuth en personne pour atteindre leurs objectifs. Et pour cette fin, ils usent des incantations terribles sur les billets de banque qu’ils donnent “généreusement” à leurs

victimes. Ils et elles ne vivent que du sang et d’orgies rituelles pour accroître leur position et leur pouvoir.

Leurs pratiques sataniques génèrent:

. Graves accidents routiers, ferroviaires, aériens, environnementaux, etc ;

. Apparition des épidémies et des pandémies pour décimer les populations ;

. Création des foyers de tension ;

. Graves problèmes d’environnement et de santé publique,

. Pédophilie, etc.

Sans oublier:

. Gabegie politique, économique et sociale ;

. Corruption ;

. Détournement des deniers publics ;

. Incivisme fiscal ;

. Fraudes douanières ;

. Trafics de tous genres et de toutes sortes ;

. Déstabilisation d’États souverains prétendument non-coopératifs ;

. L’exaltation de l’ethnophie et de l’ethnofascime, etc.

La Haute finance satanique, dite internationale, n’a pas d’état d’âme. Ce système mondialiste ultra-libéral couvre les crimes des dirigeants qui ont leur assentiment tant qu’ils leur sont utiles et en bonne santé. Mais ces derniers découvrent toujours trop tard la manoeuvre devant permettre à des hommes de paille d’être au pouvoir, car n’ayant pas compris que ce système satanique, malgré ces apparences, est précaire dé-constructible et entrain de s’effondrer de manière irréversible.

3. Le véritable challenger du Président Paul Biya est un homme qui n’appartient pas à l’establishment politique et qui n’est pas esclave de l’argent et de luxe démesuré.

Le Président Paul Biya, l’homme qui a compris les manœuvres de la Haute finance satanique, est l’un de ces rares initiés africains qui aura réussi à se maintenir au pouvoir, tout en se déliant des entraves des forces tapies dans l’ombre.

En tant que initié africain, nationaliste, patriote, panafricaniste et républicain, le Président Paul Biya, au-delà de l’État énigmatique, mystérieux, imprévisible, impénétrable, peu communicatif et difficile à cerner, est pleinement conscient de ce qu’il va transmettre le pouvoir à la génération suivante.

Entendu que le véritable enjeu de cette élection présidentielle est l’éthique politique, économique et sociale, comment allons-nous reconstruire notre pays, “alors qu’il ne reste plus rien dans les caisses de l’État ?

Comment pouvons-nous reconstruire la confiance perdue alors que les caisses de l’État sont vides ?

Comment pouvons-nous combattre la finance débridée au service de la corruption, si nous ne dénonçons pas avec sévérité les principaux responsables ?

Les absoudre est un crime encore plus grand. Et nous ne pouvons l’accepter.

L’éthique doit être la boussole de la politique publique et économique de notre pays après 36 ans de gabegie, de détournements des deniers publics. Notre pays a besoin d’entrer dans la modernité, assis sur des valeurs solides et non d’être conduit par des hommes et des femmes sur qui pèse plus qu’un soupçon ; mais capables des preuves.”

La vie citoyenne exige qu’il y ait des gens honnêtes et irréprochables qui donnent l’exemple à leurs concitoyens, et l’homme qui apporte des solutions commande par la persuasion et accepte de bon cœur une décision contraire.

Son abnégation, ce dévouement total, loyal et désintéressé à sa tâche, est évidente. Bien sûr en chef digne de ce nom, il a une certaine conscience de sa valeur et éprouve une légitime fierté pour ses réalisations. Mais, comme il est un grand dirigeant, il sait s’effacer devant la cause qu’il sert. Vous pouvez constater que ni l’ambition ni ses préférences personnelles n’influencent son jugement ou sa conduite.

Il tient compte de l’opinion d’autrui – tout en défendant ses convictions avec ardeur, comme doit le faire un vrai meneur d’hommes.

Il a la faculté de tenir bon malgré les revers d’une défaite pour reprendre la lutte, de tirer la leçon de ses fautes et de continuer jusqu’au but final.

En tant que vrai Chef, son humilité est observable. Il est assez modeste pour revendiquer publiquement la responsabilité des fautes commises par ses collaborateurs et collaboratrices qu’il a lui-même choisis et pour en cas de succès, de leur en attribuer le mérite.

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