Africa-Press – CentrAfricaine. En vue d’augmenter l’effectif des officiers de l’armée pour remédier à toute éventualité, la République Centrafricaine compte cultiver sa coopération avec le Rwanda pour bénéficier de ses expériences militaires dans un volet de formation des forces de défense et de sécurité (FDS). C’est une volonté politique du gouvernement à booster les capacités des forces armées centrafricaines (FACA) pour la restauration et la consolidation de la paix dans le pays.
Comme priorité de sa politique de faire de Forces de Défense et de Sécurité, des soldats aguerris, professionnels pour la défense de l’intégrité territoriale, les besoins des soldats biens formés sont pressants en vue de permettre au pays de faire face aux attaques des bandits armés et restaurer la paix en République Centrafricaine.
De l’avis du ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, Maxime Balalou la clairvoyance du chef de l’Etat dans une diplomatie agissante ouvre des opportunités dans une coopération Centrafricano-Rwandaise.
« Dans le cadre de renforcement des relations privilégiées entre la République Centrafricaine et le Rwanda, le chef d’Etat-major des armées a effectué une mission à Kigali et au cours de cette mission d’importants logements ont été pris en ce qui concerne même la formation. Le renforcement des capacités parce que ce qui l’armée Rwandaise est une armée très bien formée, reconnue officiellement dans le monde entier et qui sert dans plusieurs missions des nations unies. Ces discussions ont permis de jeter les bases pour qu’une partie de nos soldats, les autres commencent à être formés ici mais ils seront formés également au Rwanda. Comme nous le faisons des autres pays, seules nos capacités, nos ressources sont limitées nous allons augmenter afin de former plus des soldats, plus des officiers dans les écoles de guerre afin de palier à toute éventualité », a confirmé le ministre.
II rappelle par ailleurs que le développement ne peut se faire sans la sécurité. Une pensée qui attribue la raison au chef de l’Etat de mettre un accent particulier sur une bonne formation en vue d’offrir une potentialité au peuple Centrafricain de travailler partout ailleurs sur le territoire national en toute quiétude.
Source: Ndjoni Sango
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