Africa-Press – CentrAfricaine. Qu’on le veuille ou non, les rivalités sur la terre finissent toujours par réunir les opposants. Tant autour de la table, ils se parlent. En Côte d’Ivoire, c’est fait. Mais qu’attend-on qu’en République centrafricaine, il y a un statut quo ?
Le dialogue « républicain » que le pays et certains de nos accompagnateurs attendent, cloche encore. Cette attente durera jusqu’à quand ? Car tout le monde voit en cette étape, la sortie possible de notre enfer du problème brûlant.
La fierté de raisonner comme nous le faisons, tient du fait qu’il y a des structures qui peuvent intervenir pour ramener le calme. En exemple, pourquoi cette facilité manquerait- elle à la contrée choisie où la Médiation est bien que réelle et vivante ?
En tout cas, se parler est une gymnastique qui convie les personnes humaines, non seulement à s’attendre, mais mieux encore, à se donner librement la main. L’opportunité est vaste pour sasser et ressasser ce qui fait tâche, et qu’il faut tout de suite balayer inlassablement.
Le problème qui secoue les 623.000 km², a son importance. C’est pourquoi, il faut attacher du prix devant le mettre à sec. Alors, soyons des êtres qui ont la tête sur les épaules. Réfléchissons, et faisons preuve de logique qui nous tire du malheur croissant.
La table ronde qui réunira Gouvernement et Opposition, ouvrira une porte de sortie aux mauvaises langues qui seront écrasées par cette surprise attitude nouvelle. Car rien ne vaut la joie que les uns et les autres exploitent devant leur objet commun : leur terre natale.
Accordons la prime à cette action qui fera valoir la fierté des ressortissants de la République centrafricaine à vivre pour le temps qui leur est accordé. Devons-nous vendre cette miniature qui revient intimement la NÔTRE ?
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