Africa-Press – Comores. Organisé par Comores prestige, la première édition de Master Class évent a été une pure magie. Avec deux thématiques clés à savoir l’entreprenariat et des speakers, l’art oratoire, cet évènement haut en couleur était l’occasion pour les jeunes d’échanger avec des entrepreneurs pour connaitre leur stories, leurs échecs et réussites.
Plus de 500 personnes, jeunes étudiants, entrepreneurs, fonctionnaires etc., ont répondu présent samedi 25 février dernier à l’évènement haut en couleur de Master Class évent. « Les racines de l’éducation sont amères mais ses fruits sont doux », disait Aristote, une expression qui a été mise en exergue dans cet évènement qui a réuni cinq entrepreneurs et deux coachs speakers.
L’entreprenariat était au cœur des interventions durant une heure et trente minutes. Echecs et réussites, ces entrepreneurs ont parlé de leurs parcours professionnel, comme Fayçal Bianrifi, Asna Said Allaoui, Toimimou, Karima Djaffar, etc. Certains sont des chevronnés, d’autres se sont lancés avec le temps et ont retrouvé leur marque.
Asna Said Allaoui, directrice de l’entreprise AMS SARLU, une entreprise agroalimentaire a montré qu’être entrepreneur c’est prendre les choses en main, se lever chaque jour et croire en soi. « Il faut être entouré de bonnes personnes et savoir se relever. L’entrepreneuriat est un risque mais ses fruits sont doux. Il faut s’affirmer chaque jour », précise-t-elle, tout en poussant les jeunes présents dans la salle à se lancer, à croire en eux, et à être ambitieux.
De son côté, le speaker Rachad Mohamed a expliqué comment tenir debout face à un public et comment vaincre sa peur. Et c’est avec une anecdote de sa propre histoire qu’il démarque l’audience. Selon lui, il est primordial pour un entrepreneur de savoir se vendre et vendre ses produits ou services. « La valorisation des produits et la confiance en soi, c’est très important. L’art oratoire suscite des ambitions et crée un meilleur avenir. Entreprendre nécessite l’art de convaincre et du leadership », renchérit-il. Même son de cloche pour son allié Sultane Adourahmane Cheikh, qui évolue dans l’espace médiatique et de la presse indépendante.
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