Africa-Press – Côte d’Ivoire. Conforté par l’urbanisation progressive et le besoin croissant d’une gestion intelligente de l’énergie, la multinationale française prévoit d’étendre ses activités en Afrique subsaharienne.
« Nous allons continuer à renforcer notre présence en Afrique », déclare à The Africa Report/Jeune Afrique Amel Chadli, vice-présidente de la stratégie et de l’énergie numérique pour le Moyen-Orient et l’Afrique.
Parmi les pays ciblés par le groupe, le Sénégal, le Mozambique, l’Angola et la RDC. L’expansion, qui a été retardée par le Covid-19, commencera en 2022. Le métro de Londres consomme plus d’électricité en quatre mois que les 12 millions d’habitants du Bénin en un an
En Afrique subsaharienne, Schneider Electric compte des bureaux au Sénégal, en Cote d’Ivoire, au Nigeria, au Cameroun, en RDC, au Kenya, en Tanzanie, à Maurice et en Afrique du Sud. Ses revenus en 2020 ont atteint 25,2 milliards d’euros réalisés à 27 % en Europe de l’Ouest, 24% en Amérique du Nord, 32% en Asie et 17% dans le reste du monde (en Amérique latine, Afrique..).





