Africa-Press – Côte d’Ivoire. Le président gambien a au sortir d’une rencontre avec son homologue ivoirien, lui a exprimé sa gratitude pour les efforts sans relâche qu’il a consenti à aider son pays pour le retour de la démocratie surtout au niveau de la CEDEAO et dans l’Union Africain, aussi que son rôle joué dans le cadre des bonnes choses réalisées dans son pays.
“Permettez-moi, de vous remercier personnellement pour votre patience, sagesse et davantage votre action pendant la transition et les périodes difficiles dans mon pays et surtout pour le retour de la paix dans mon pays”, a ajouté, le Président gambien.
“Les Ivoiriens et les Gambiens sont des frères, cela nous en voulons pour preuve la population gambienne qui vit ici en Côte d’Ivoire en de parfait terme avec leurs frères ivoiriens.
Les Ivoiriens et les Gambiens sont des frères, notamment tous ceux qui sont ici qui continuent à travailler pour renforcer l’économie gambienne à travers des activités commerciales et je pense que cela est très important.
Je pense qu’en tant que communautés, parties prenantes de la CEDEAO, nous savons que nous devons travailler ensemble dans le sens d’améliorer le quotidien de nos populations. Je crois que le sens des bonnes relations qui ont su être développées ici, vont contribuer dans un sens beaucoup plus large à renforcer nos coopérations au niveau de la sous-région pour le bien-être de nos populations. Je pense que si nous intégrons davantage nos populations, cela va aider à renforcer nos communautés”, a expliqué, Adama Barrow.
Selon lui, cette visite est donc un signe fort de son engagement ainsi que de son gouvernement et de toute la population gambienne de voir cette coopération se renforcer entre les populations.
Il estime que sa présence en Côte d’Ivoire va encourager plutôt les investissements et surtout, avec l’appui des ambassadeurs, renforcer plutôt la coopération.
“Nous voudrons voir, notamment à travers un cadre bilatéral, renforcer notre coopération”, a insisté, le président gambien.
Il a dénoncé, le fait que les relations dans la sous-région, sont en face d’une sorte d’inertie.
“Il est temps que nous nous intégrions plutôt face aux défis du climat, du terrorisme, et que nous travaillons plutôt pour élargir un peu plus nos cercles de coopération”, a conclu, M. Barrow.
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