Beugré Mambé au COCAN : « Vous avez élaboré votre architecture pour le travail qui sera conduit (…) Mais, de grâce, pas un franc de plus »

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Beugré Mambé au COCAN : « Vous avez élaboré votre architecture pour le travail qui sera conduit (...) Mais, de grâce, pas un franc de plus »
Beugré Mambé au COCAN : « Vous avez élaboré votre architecture pour le travail qui sera conduit (...) Mais, de grâce, pas un franc de plus »

Africa-Press – Côte d’Ivoire. Le Premier Ministre Beugré Mambé est à la tâche pour la réussite de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) prévue du 13 janvier au 11 février 2024.

Après avoir visité mardi le stade Olympique Alassane Ouattara, il a invité le Comité d’Organisation de la CAN (COCAN) pour un atelier de cadrage la Primature.

Il s’agit à la sortie du conclave de déterminer un calendrier clair pour les tâches à réaliser sans un franc de plus.

« En organisant cette rencontre, nous visons à mettre en évidence, tous les segments auxquels nous devons prêter une très grande attention pour ne rien oublier. Je vous demande de donner le meilleur de vous-mêmes. En revoyant tous les visages ici réunis, ce sont des ténors qui sont dans l’organisation. Nous n’avons pas le droit d’oublier des détails qui feront la différence. C’est vrai, vous avez élaboré votre architecture pour le travail qui sera conduit, je suis venu avec une équipe de quatre à cinq encadreurs qui seront aux côtés d’Idriss Diallo (Coordonnateur) pour identifier, commission par commission, toutes les tâches avec un calendrier de mise en œuvre et les moyens qui accompagnent ce calendrier », a indiqué le Ministre des Sports et du cadre de vie, avant de marteler.

« Bien attendu, il y a une hypothèse de base que nous devons respecter : pas un centime de plus, on reste dans le budget et on fait toutes les tâches. À l’impossible, nul n’est tenu. Si par extraordinaire, il y avait une tâche que nous aurions tous oubliée et que nous devons valider pendant le séminaire qui s’avère indispensable pour l’équilibre de notre ambition, nous pourrions regarder. Mais, de grâce, pas un franc de plus. Je voudrais terminer en disant, chacun de nous engage sa responsabilité, son image et sa réputation. »

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