Africa-Press – Côte d’Ivoire. Depuis plusieurs semaines, une campagne de dénigrement et de diffamation contre M. Komé fait rage sur les réseaux sociaux et dans certains journaux, l’accusant à tort d’avoir détruit la maison d’une dame alors que ses enfants étaient à l’école.
Ces allégations, totalement infondées selon lui, ont provoqué une grande confusion. Dans un droit de réponse, M. Komé estime qu’il est important de rétablir les faits, ses faits, les voici tels que transmis à KOACI.
L’histoire remonte à 2007, lorsque M. Komé se rend sur ses parcelles situées à Abobo-Baoulé. À sa surprise, il découvre qu’une maison a été construite sur l’un de ses terrains par Kouamé N’Goran Léon. Ce dernier, interpellé par M. Komé, prétend être le propriétaire du terrain. Toutefois, lorsqu’il est invité à fournir un document officiel attestant de sa propriété, M. Komé présente son certificat de propriété, prouvant ainsi sa légitimité.
Concernant la seconde parcelle, restée vide à l’époque, elle est illégalement occupée par Yapi Yapo. Ce dernier, informé par M. Kouamé des droits légitimes de M. Komé, entre en contact avec ce dernier pour discuter de la situation.
Après quelques jours de négociations, les deux occupants proposent à M. Komé d’acheter les terrains à un prix dérisoire d’un million de FCFA par lot, bien en dessous de leur véritable valeur de 15 millions de FCFA. Devant le refus de M. Komé, ce dernier se retrouve accusé de faux et usage de faux dans une plainte déposée par MM. Kouamé et Yapi Yapo. Après enquête, la police a confirmé la légitimité des droits de M. Komé, renvoyant les parties dos à dos.
Quelques mois plus tard, Yapi Yapo, agent de police, vend illégalement le terrain qu’il occupait à un ressortissant libanais. Ce dernier tente de démarrer des travaux, mais M. Komé, en toute légalité, arrête les constructions grâce à l’intervention des autorités compétentes.
Le Libanais, incapable d’obtenir l’expropriation de M. Komé, propose alors de racheter le terrain. Cependant, après avoir reçu les documents de propriété, il ne donne plus suite à la transaction.
Peu après, M. Komé est convoqué par la justice pour de nouvelles accusations de faux, mais là encore, il est blanchi et obtient un non-lieu. M. Komé, déterminé à défendre ses droits, engage une procédure de déguerpissement qu’il remporte, permettant ainsi la démolition des constructions illégales.
Finalement, le Libanais revient avec une nouvelle offre d’achat, que M. Komé accepte après l’avoir initialement rejetée, mettant ainsi fin à ce conflit.
Quant à M. Kouamé, bien qu’il ait reconnu sa faute en tentant de négocier une compensation pour la maison qu’il avait construite sur le terrain de M. Komé, il n’a jamais pu prouver qu’il était réellement propriétaire du lot qu’il proposait en échange. Pire encore, il vend frauduleusement ce terrain à une dame, sans l’informer du conflit qui le concerne. Cette dernière, dupée par M. Kouamé, se trouve aujourd’hui au centre de cette affaire, tandis que M. Komé se voit injustement accusé de l’avoir spoliée.
Coupable, innocent ? ces affaires de fonciers et de constructions font régulièrement la une des rubriques à scandales en Côte d’Ivoire. Komé pourrait ou pas apparaitre comme victime d’une campagne de diffamation orchestrée par ceux qui pourraient avoir agi en dehors du cadre légal. Sa seule volonté a toujours été de défendre ses droits légitimes, et non d’entraver la vie de quiconque.
Face à ces accusations, M. Komé se réserve le droit de poursuivre toutes les actions judiciaires nécessaires pour rétablir son honneur et mettre fin à cette machination.
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