Le préfet de Taï pour la tenue de l’engagement des parties prenantes à la protection du PNT

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Le préfet de Taï pour la tenue de l’engagement des parties prenantes à la protection du PNT
Le préfet de Taï pour la tenue de l’engagement des parties prenantes à la protection du PNT

Africa-Press – Côte d’Ivoire. Le préfet du département de Taï, Bakayoko Mamadou, souhaite que l’engament de toutes les parties prenantes à la protection et la préservation du Parc national de Taï (PNT) ne faiblisse pas.

Lors de l’atelier de suivi de la mise en œuvre du plan d’opérations 2024 de gestion de ce parc, jeudi 25 avril 2024, à Guiglo, M. Bakayoko a indiqué que le rassemblement des prenantes est bien plus qu’une simple revue trimestrielle de l’ensemble de l’activité programmé par l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR).

Il a souligné que le contexte environnemental mondial actuel fait de néfaste changement climatique sur le quotidien des Ivoiriens, les oblige à attacher du prix aux problématiques relatives à la préservation de la biodiversité, dont celle du PNT.

L’autorité préfectorale a saisi l’occasion de cette rencontre consistant à dresser le bilan, au premier trimestre de l’année en cours, de la direction zone sud-ouest (DZSO) de l’OIPR, pour saluer la disponibilité permanente des participants à la réunion, leur détermination et leurs remarquables efforts pour la sauvegarde de ce joyau, qu’est le PNT.

«C’est une véritable exhortation à jouer pleinement notre partition, afin de mieux apprécier le niveau d’exécution technique du plan d’opérations du trimestre écoulé, de déterminer les causes des éventuels écarts entre les prévisions et les résultats obtenus, pour arrêter les recommandations nécessaires pour l’amélioration du niveau d’exécution du plan d’opérations, pour conférer au parc sa notoriété», les a-t-il exhortés.

Relevant, d’ailleurs, que la préservation de cette aire protégée revêt une importance pour les populations ivoiriennes, que pour toutes les parties prenantes, il a mis en exergue la pertinence des initiatives de protection du PNT.

De l’avis des environnementalistes nationaux et internationaux, il représente un patrimoine forestier indispensable pour la Côte d’Ivoire, voire pour l’humanité toute entière, en raison de sa superficie et l’immense réservoir génétique qu’il regorge. De même que son statut de réserve de biosphère, obtenu en 1978, qui ne saurait être perçu comme une banale caution de routine.

«C’est donc à juste titre que l’OIPR, organe en charge de la gestion de cette aire protégée, a élaboré conformément au plan d’aménagement et de gestion 2020-2029, le plan d’opérations 2024 contenant les activités à mener, assortie d’indicateur de performance», a fait remarquer Bakayoko Mamadou.

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