Éditorial : Djibouti, pièce maîtresse des opérations d’évacuation des ressortissants étrangers du Soudan

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Éditorial : Djibouti, pièce maîtresse des opérations d'évacuation des ressortissants étrangers du Soudan
Éditorial : Djibouti, pièce maîtresse des opérations d'évacuation des ressortissants étrangers du Soudan

Africa-Press – Djibouti. Ils sont Japonais, Britanniques, Italiens, Américains, Français, Norvégiens ou sont originaires de nombreux autres pays.

Leur point commun : ils se trouvaient au Soudan où, pour certains, ils vivaient depuis des années, quand les affrontements sanglants ont éclaté sans crier gare.

Malgré des opérations de rapatriement préparées dans des conditions différentes, souvent difficiles, par leurs pays respectifs, leur parcours est le même : ils sont redirigés dans un premier temps vers Djibouti, cet havre de paix dans une zone de tempêtes.

Notre pays, qui s’est bâti une solide réputation de terre d’accueil au fil des ans et des crises dans la région, se montre une fois de plus fidèle à ses principes d’hospitalité et de générosité vis-à-vis de toutes les personnes fuyant la guerre et son cortège d’atrocités.

A l’heure où nous écrivons ces lignes, ces opérations de rapatriement se poursuivent. Elles ont même tendance à s’intensifier à mesure que le temps passe et que ce pays frère et ami qu’est le Soudan s’enfonce dans une guerre fratricide dont les victimes se comptent désormais par centaines.

C’est en effet un véritable pont aérien qui s’est mis en place grâce à une étroite collaboration entre les autorités djiboutiennes et celles des Etats impliqués dans ces opérations de rapatriement.

Mieux, notre pays a pris les dispositions appropriées pour rapatrier ses propres ressortissants.

Ainsi, un second groupe de ressortissants djiboutiens en provenance du Soudan est arrivé ce lundi soir à l’aéroport de de Djibouti.

Ils y ont été accueillis en présence de plusieurs hauts responsables à la tête desquels le chef de la diplomatie djiboutienne, M. Mahmoud Ali Youssouf.

Ils sont Japonais, Britanniques, Italiens, Américains, Français, Norvégiens ou sont originaires de nombreux autres pays.

Leur point commun : ils se trouvaient au Soudan où, pour certains, ils vivaient depuis des années, quand les affrontements sanglants ont éclaté sans crier gare.

Malgré des opérations de rapatriement préparées dans des conditions différentes, souvent difficiles, par leurs pays respectifs, leur parcours est le même : ils sont redirigés dans un premier temps vers Djibouti, cet havre de paix dans une zone de tempêtes.

Notre pays, qui s’est bâti une solide réputation de terre d’accueil au fil des ans et des crises dans la région, se montre une fois de plus fidèle à ses principes d’hospitalité et de générosité vis-à-vis de toutes les personnes fuyant la guerre et son cortège d’atrocités.

A l’heure où nous écrivons ces lignes, ces opérations de rapatriement se poursuivent. Elles ont même tendance à s’intensifier à mesure que le temps passe et que ce pays frère et ami qu’est le Soudan s’enfonce dans une guerre fratricide dont les victimes se comptent désormais par centaines.

C’est en effet un véritable pont aérien qui s’est mis en place grâce à une étroite collaboration entre les autorités djiboutiennes et celles des Etats impliqués dans ces opérations de rapatriement.

Mieux, notre pays a pris les dispositions appropriées pour rapatrier ses propres ressortissants.

Ainsi, un second groupe de ressortissants djiboutiens en provenance du Soudan est arrivé ce lundi soir à l’aéroport de de Djibouti.

Ils y ont été accueillis en présence de plusieurs hauts responsables à la tête desquels le chef de la diplomatie djiboutienne, M. Mahmoud Ali Youssouf.

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