Le président de l’Autorité des Ports et Zones Franches souligne la vitalité de Djibouti dans le commerce maritime mondial

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Le président de l'Autorité des Ports et Zones Franches souligne la vitalité de Djibouti dans le commerce maritime mondial
Le président de l'Autorité des Ports et Zones Franches souligne la vitalité de Djibouti dans le commerce maritime mondial

Africa-Press – Djibouti. Hier, jeudi, lors d’une réunion virtuelle de l’Association Internationale des Ports (IAPH), le président de l’Autorité des Ports et Zones Franches de Djibouti (APZFD), M. Aboubaker Omar Hadi, a pris la parole en tête d’affiche et a exposé la vitalité de Djibouti dans le commerce maritime mondial.

Cette conférence virtuelle a réuni des représentants de pays d’Europe, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique du Sud, dont l’Afrique du Sud, la Namibie, la Corée du Sud, les États-Unis d’Amérique, la France et l’Allemagne.

Soulignant l’urgence de la crise en mer Rouge, le président de l’APZFD a mis en exergue la croissance exceptionnelle du trafic de transbordement à Djibouti, multiplié par vingt. « Ce qui, a-t-il dit, consolide la position de mon pays en tant que plaque tournante stratégique du transport maritime mondial ».

Cette croissance fulgurante est largement attribuée à l’avantage géographique unique de Djibouti, situé à l’entrée et à la sortie de la mer Rouge, où transite 70 % du commerce entre l’Extrême-Orient et l’Europe.

Par ailleurs, l’acquisition opportune de quatre grues Malacca Max de pointe a considérablement renforcé la capacité opérationnelle du port, lui permettant d’accueillir les plus grands navires au monde, jusqu’à 22 000 EVP.

Malgré les perturbations régionales, telles que la baisse du trafic via la mer Rouge, Djibouti a fait preuve de résilience en maintenant des escales régulières de navires.

En tant que signataire de la Convention Internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en Mer de 1974 (SOLAS), Djibouti a réaffirmé son engagement en faveur de la sûreté et de la sécurité maritimes.

« L’APZFD a mis en place des mesures pour assister les navires en détresse dans les eaux territoriales et internationales. Par exemple, face au naufrage en mer Rouge du navire Rubymar, transportant 22 000 tonnes d’engrais de classe IMO 5.1, Djibouti a pris des mesures immédiates pour éviter une pollution et a servi de port de refuge », a affirmé M. Hadi.

Le président de l’APZFD a en outre présenté le projet du chemin de fer transafricain comme une voie alternative pour maintenir le commerce international via la mer Rouge et Bab el Mandeb

“Nous sommes dans l’œil du cyclone, mais nous résistons bien jusqu’à présent”, a conclu M. Hadi.

Hier, jeudi, lors d’une réunion virtuelle de l’Association Internationale des Ports (IAPH), le président de l’Autorité des Ports et Zones Franches de Djibouti (APZFD), M. Aboubaker Omar Hadi, a pris la parole en tête d’affiche et a exposé la vitalité de Djibouti dans le commerce maritime mondial.

Cette conférence virtuelle a réuni des représentants de pays d’Europe, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique du Sud, dont l’Afrique du Sud, la Namibie, la Corée du Sud, les États-Unis d’Amérique, la France et l’Allemagne.

Soulignant l’urgence de la crise en mer Rouge, le président de l’APZFD a mis en exergue la croissance exceptionnelle du trafic de transbordement à Djibouti, multiplié par vingt. « Ce qui, a-t-il dit, consolide la position de mon pays en tant que plaque tournante stratégique du transport maritime mondial ».

Cette croissance fulgurante est largement attribuée à l’avantage géographique unique de Djibouti, situé à l’entrée et à la sortie de la mer Rouge, où transite 70 % du commerce entre l’Extrême-Orient et l’Europe.

Par ailleurs, l’acquisition opportune de quatre grues Malacca Max de pointe a considérablement renforcé la capacité opérationnelle du port, lui permettant d’accueillir les plus grands navires au monde, jusqu’à 22 000 EVP.

Malgré les perturbations régionales, telles que la baisse du trafic via la mer Rouge, Djibouti a fait preuve de résilience en maintenant des escales régulières de navires.

En tant que signataire de la Convention Internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en Mer de 1974 (SOLAS), Djibouti a réaffirmé son engagement en faveur de la sûreté et de la sécurité maritimes.

« L’APZFD a mis en place des mesures pour assister les navires en détresse dans les eaux territoriales et internationales. Par exemple, face au naufrage en mer Rouge du navire Rubymar, transportant 22 000 tonnes d’engrais de classe IMO 5.1, Djibouti a pris des mesures immédiates pour éviter une pollution et a servi de port de refuge », a affirmé M. Hadi.

Le président de l’APZFD a en outre présenté le projet du chemin de fer transafricain comme une voie alternative pour maintenir le commerce international via la mer Rouge et Bab el Mandeb

“Nous sommes dans l’œil du cyclone, mais nous résistons bien jusqu’à présent”, a conclu M. Hadi.

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