Africa-Press – Djibouti. Comme c’est toujours le cas en temps pluvieux, l’ONEAD a été au rendez-vous. Dès les premières heures du jour, des équipes de techniciens luttaient pour prévenir les risques d’inondations que pouvaient entraîner logiquement des défaillances dans les réseaux de canalisation. Et ce, alors qu’il pleuvait encore des cordées. Rompus à ce genre d’exercice qui les conduit à travailler dans des conditions extrêmes, Hommes et machines unissaient leurs forces pour faire face à la montée des eaux qui menaçaient d’inonder les habitations ou de bloquer la circulation.
A l’heure où ces lignes sont écrites, et malgré des prévisions météorologiques annonçant de nouvelles précipitations, les hommes de l’ONEAD sont à pied d’œuvre. C’est un combat des titans qui se livre pour dégager les voies. Chaque pouce de terrain gagné est une victoire en soi. La bataille contre les eaux se gagne par une accumulation de victoires.
Quand les hommes, marchant dans l’eau et la boue, s’emploient à atteindre à pied l’entrée d’une canalisation qu’ils soupçonnent d’être défectueuse, les machines, elles, fonctionnent à plein régime pour pomper l’eau. L’air, plutôt frais, est rempli de leur vrombissement. Autour d’elles, les agents, affairés, se tournent et se retournent. Tous regardent vers le ciel. ils savent que tout est à recommencer si la capitale connaît de fortes pluies cette nuit aussi.
Pour plus d’informations et d’analyses sur la Djibouti, suivez Africa-Press





